L’on ne peut circuler dans les quartiers de N’Djamena sans être gêné par les eaux usées versées par la population sur la voie publique, et qui ne sont sans conséquences sur les usagers et les riverains. Cette pratique est de plus en plus accentuée dans les quartiers périphériques de la ville.
Qu’il s’agisse en matinée ou en soirée, les habitants de certains quartiers périphériques préfèrent verser les eaux usées émanant de leur toilette ou des déchets ménagers sur la voie publique, sans même se soucier des dangers que cela occasionne pour la route. Pourtant, le déversement de ces eaux usées sur la voie publique constitue un danger pour la population riveraine et un réel problème environnemental.
Le cas illustratif est celui de Pierre Adophe. Il sortait un matin pour se rendre à son lieu de travail. Soudain, surgit dernière lui un automobiliste qui l’éclabousse avec l’eau usée dans la nuit et qui stagne en ce lieu. L’automobile a continué son chemin. D’après Amadou Ferdinand, géographe urbaniste, les eaux usées versées dans la rue et sur les tas d’ordures et même dans la cour de la maison, provoquent des odeurs nauséabondes.
C’est aussi le lieu de refuge des mouches, moustiques et cafards qui sont les agents vecteurs transmetteurs de maladies. Les eaux usées versées sur la voie publique sont parfois la cause des accidents. Cela constitue également une source de conflits. Il ajoute que ce problème découle également de l’incivisme de la population.
Pour certains, ce phénomène s’explique par l’absence de caniveaux bien aménagés pouvant servir à écouler les eaux usées vers le fleuve Chari. Pour d’autres, c’est le manque de moyens financiers nécessaires leurs permettant de construire des douches confortables ou des puisards, pour stocker les eaux usées pendant des années avant leur curage par les services compétents de la commune.
C’est à défaut de cela que certains des chefs de carré exigent que les caniveaux soient curés et les eaux usées versées à des heures tardives. Ceci pour éviter de mettre mal à l’aise le voisinage. En définitive, la persistance de cette pratique résulte du manque de sensibilisation.
Qu’il s’agisse en matinée ou en soirée, les habitants de certains quartiers périphériques préfèrent verser les eaux usées émanant de leur toilette ou des déchets ménagers sur la voie publique, sans même se soucier des dangers que cela occasionne pour la route. Pourtant, le déversement de ces eaux usées sur la voie publique constitue un danger pour la population riveraine et un réel problème environnemental.
Le cas illustratif est celui de Pierre Adophe. Il sortait un matin pour se rendre à son lieu de travail. Soudain, surgit dernière lui un automobiliste qui l’éclabousse avec l’eau usée dans la nuit et qui stagne en ce lieu. L’automobile a continué son chemin. D’après Amadou Ferdinand, géographe urbaniste, les eaux usées versées dans la rue et sur les tas d’ordures et même dans la cour de la maison, provoquent des odeurs nauséabondes.
C’est aussi le lieu de refuge des mouches, moustiques et cafards qui sont les agents vecteurs transmetteurs de maladies. Les eaux usées versées sur la voie publique sont parfois la cause des accidents. Cela constitue également une source de conflits. Il ajoute que ce problème découle également de l’incivisme de la population.
Pour certains, ce phénomène s’explique par l’absence de caniveaux bien aménagés pouvant servir à écouler les eaux usées vers le fleuve Chari. Pour d’autres, c’est le manque de moyens financiers nécessaires leurs permettant de construire des douches confortables ou des puisards, pour stocker les eaux usées pendant des années avant leur curage par les services compétents de la commune.
C’est à défaut de cela que certains des chefs de carré exigent que les caniveaux soient curés et les eaux usées versées à des heures tardives. Ceci pour éviter de mettre mal à l’aise le voisinage. En définitive, la persistance de cette pratique résulte du manque de sensibilisation.