Depuis 2014, le gouvernement de la République populaire de Chine continue à accorder une assistance alimentaire au Tchad. Ainsi, plus de 19 526 tonnes de riz et de blé, répartis comme suit : 5 000 tonnes de riz offert en 2014, 5 000 tonnes de riz en 2017, 5 966 tonnes en 2020, 1 000 tonnes de riz et 1 000 tonnes de blé en 2022, et 1 560 tonnes de riz en 2024, ont été accordés au Tchad.
Pourtant, le pays dispose de 39 000 000 (trente-neuf millions) d'hectares de terres cultivables, ce qui représente 30% du territoire national. Une superficie de 5,6 millions d'hectares de terres irrigables, avec une facilité de 335 000 ha à travailler par irrigation.
Au regard de toutes ces opportunités, le pays fait face à l'insuffisance alimentaire, avec l'aide étrangère qui est devenue une habitude. À quand la fin de cette dépendance alimentaire ? La possibilité de mettre fin à l'insuffisance alimentaire au Tchad est négligée.
Selon l'agronome Dieudonné, « le Tchad ne devrait plus avoir le souci en terme d'alimentation provenant d'autres nations, surtout que les conditions sont favorables pour pratiquer la culture du riz en plein temps, et même d'autres cultures. Et avec l'évolution technologique, il suffit d'avoir les panneaux solaires comme source d'énergie. »
De ce fait, il faut dire que l'agriculture est un secteur essentiel, permettant de booster l'économie d'un pays comme le Tchad, les moyens permettant d'intensifier les travaux posent problème, faute d’engagement du gouvernement à fournir des moyens. Près de la moitié de la population, soit 47 %, est concentrée sur 10 % de la superficie totale du pays. Cette population est majoritairement rurale, puisqu'en 2009, elle représentait 78,3 %.
Il convient de signaler aussi que près de 57 % de la population a moins de 18 ans, donc une population majoritairement jeune. La densité absolue de peuplement est faible (6,9 habitants au km²), mais la majeure partie de la population est concentrée dans les zones fertiles, au sud des fleuves Logone et Chari, ainsi que dans les zones urbaines où vivent 23 % des Tchadiens.
Cette ressource humaine constitue un avantage pour le pays, les jeunes peuvent contribuer significativement dans les travaux en tant qu'employés, si est seulement si le gouvernement décide de mécaniser l'agriculture tchadienne. Dans la lutte contre le chômage, l'État tchadien est appelé à revoir sa politique de développement pour pallier les défis liés à la famine, car dit-on, ventre affamé n'a point d'oreilles.
Pourtant, le pays dispose de 39 000 000 (trente-neuf millions) d'hectares de terres cultivables, ce qui représente 30% du territoire national. Une superficie de 5,6 millions d'hectares de terres irrigables, avec une facilité de 335 000 ha à travailler par irrigation.
Au regard de toutes ces opportunités, le pays fait face à l'insuffisance alimentaire, avec l'aide étrangère qui est devenue une habitude. À quand la fin de cette dépendance alimentaire ? La possibilité de mettre fin à l'insuffisance alimentaire au Tchad est négligée.
Selon l'agronome Dieudonné, « le Tchad ne devrait plus avoir le souci en terme d'alimentation provenant d'autres nations, surtout que les conditions sont favorables pour pratiquer la culture du riz en plein temps, et même d'autres cultures. Et avec l'évolution technologique, il suffit d'avoir les panneaux solaires comme source d'énergie. »
De ce fait, il faut dire que l'agriculture est un secteur essentiel, permettant de booster l'économie d'un pays comme le Tchad, les moyens permettant d'intensifier les travaux posent problème, faute d’engagement du gouvernement à fournir des moyens. Près de la moitié de la population, soit 47 %, est concentrée sur 10 % de la superficie totale du pays. Cette population est majoritairement rurale, puisqu'en 2009, elle représentait 78,3 %.
Il convient de signaler aussi que près de 57 % de la population a moins de 18 ans, donc une population majoritairement jeune. La densité absolue de peuplement est faible (6,9 habitants au km²), mais la majeure partie de la population est concentrée dans les zones fertiles, au sud des fleuves Logone et Chari, ainsi que dans les zones urbaines où vivent 23 % des Tchadiens.
Cette ressource humaine constitue un avantage pour le pays, les jeunes peuvent contribuer significativement dans les travaux en tant qu'employés, si est seulement si le gouvernement décide de mécaniser l'agriculture tchadienne. Dans la lutte contre le chômage, l'État tchadien est appelé à revoir sa politique de développement pour pallier les défis liés à la famine, car dit-on, ventre affamé n'a point d'oreilles.