Le secrétaire général du Patronat de la Presse Tchadienne, Éric Kokinague. Alwihda Info
Le Patronat de la Presse Tchadienne (PPT) et l’Association des Écrivains et Auteurs Tchadiens d’Expression Française (ASEAT) ont signé ce 9 décembre 2017, à la Maison des Médias du Tchad, un accord de partenariat permettant d’accompagner les écrivains dans la vulgarisation du festival littéraire « Le souffle de l’Harmattan » par le Patronat de la Presse Tchadienne et surtout à former les chroniqueurs littéraires à court terme par les écrivains.
Le secrétaire général du Patronat de la Presse Tchadienne (PPT), Éric Kokinague a estimé, dans un entretien accordé à Alwihda Info qu’il faudrait travailler ensemble avec les écrivains de façon à élargir leur partenariat aux maisons d’édition. Selon lui, il faut avoir une imprimerie qui va aider les journalistes à imprimer leurs journaux et les écrivains à éditer leurs œuvres.
Qu’est-ce-qui vous motive à nouer un partenariat avec l’Association des Écrivains et Auteurs Tchadiens d’Expression Française (ASEAT) ?
Éric Kokinague : Nous avons estimé au niveau du Patronat de la Presse Tchadienne que les écrivains et les journalistes exercent pratiquement dans le même domaine puisque nous avons les mêmes difficultés liées au coût de l’impression qui coute les yeux de la tête dans notre pays.
Il faudrait bien s’associer aux écrivains pour pouvoir réfléchir à la manière de nous faciliter la tâche dans l’exercice de notre métier. C’est ce qui constitue le mobile principal de cette rencontre qui vient d’avoir lieu.
Heureusement, nous venons de sceller un partenariat qui porte sur le projet immédiat et à long terme entre autres, mettre sur pieds la stratégie pouvant nous permettre d’être à l’abri des difficultés que nous rencontrons et aussi la création d’une imprimerie indépendante qui pourra aider les écrivains et les journalistes tchadiens à exercer librement et de manière assez aisée leur métier.
Pouvez-vous nous dérouler en détails ce qui est réalisable dans le futur entre les journalistes et les écrivains ?
Éric Kokinague : Dans le futur, nous estimons qu’il faudrait travailler ensemble avec les écrivains de façon à élargir notre partenariat aux maisons d’édition et avoir une imprimerie qui va aider les journalistes à imprimer leurs journaux, mais aussi aux écrivains à sortir leurs œuvres.
Nous savons que le papier est difficilement consommé dans notre pays. Les écrivains comme les journalistes ont des invendus sur le bras. Si nous avons une imprimerie qui nous aide à imprimer nos papiers à moindre coût, ça serait une bouffée d’oxygène pour les écrivains et les journalistes tchadiens.
Propos recueillis par Djimet Wiché
Le secrétaire général du Patronat de la Presse Tchadienne (PPT), Éric Kokinague a estimé, dans un entretien accordé à Alwihda Info qu’il faudrait travailler ensemble avec les écrivains de façon à élargir leur partenariat aux maisons d’édition. Selon lui, il faut avoir une imprimerie qui va aider les journalistes à imprimer leurs journaux et les écrivains à éditer leurs œuvres.
Qu’est-ce-qui vous motive à nouer un partenariat avec l’Association des Écrivains et Auteurs Tchadiens d’Expression Française (ASEAT) ?
Éric Kokinague : Nous avons estimé au niveau du Patronat de la Presse Tchadienne que les écrivains et les journalistes exercent pratiquement dans le même domaine puisque nous avons les mêmes difficultés liées au coût de l’impression qui coute les yeux de la tête dans notre pays.
Il faudrait bien s’associer aux écrivains pour pouvoir réfléchir à la manière de nous faciliter la tâche dans l’exercice de notre métier. C’est ce qui constitue le mobile principal de cette rencontre qui vient d’avoir lieu.
Heureusement, nous venons de sceller un partenariat qui porte sur le projet immédiat et à long terme entre autres, mettre sur pieds la stratégie pouvant nous permettre d’être à l’abri des difficultés que nous rencontrons et aussi la création d’une imprimerie indépendante qui pourra aider les écrivains et les journalistes tchadiens à exercer librement et de manière assez aisée leur métier.
Pouvez-vous nous dérouler en détails ce qui est réalisable dans le futur entre les journalistes et les écrivains ?
Éric Kokinague : Dans le futur, nous estimons qu’il faudrait travailler ensemble avec les écrivains de façon à élargir notre partenariat aux maisons d’édition et avoir une imprimerie qui va aider les journalistes à imprimer leurs journaux, mais aussi aux écrivains à sortir leurs œuvres.
Nous savons que le papier est difficilement consommé dans notre pays. Les écrivains comme les journalistes ont des invendus sur le bras. Si nous avons une imprimerie qui nous aide à imprimer nos papiers à moindre coût, ça serait une bouffée d’oxygène pour les écrivains et les journalistes tchadiens.
Propos recueillis par Djimet Wiché