Le mouvement citoyen Jeunesse en marche a officiellement lancé ses activités, hier, samedi 13 janvier 2017, à la Bourse du Travail pour lutter contre tous les maux qui minent l’épanouissement de la jeunesse tchadienne.
Il naît des cendres du désespoir et de l’abattement de la jeunesse désabusée et désillusionnée. Il se définit comme la voix des victimes de l'arbitraire, de la dictature, de l'injustice, de la corruption, de la concussion, du népotisme, du clanisme, du tribalisme, du confessionnalisme et de la confiscation du pouvoir, d’après les initiateurs.
"Jeunesse en Marche" est une plate-forme des jeunes tchadiens de l’intérieur et de la diaspora soucieux du devenir du Tchad, aujourd’hui, banalisé et réduit à clochardisation.
La coordination de la Jeunesse en Marche au service de la jeunesse tchadienne est composée de dix (10) membres qui se disent déterminés à défendre l’intérêt général et en particulier celui de la jeunesse tchadienne.
Le coordinateur du mouvement citoyen Jeunesse en marche, Miarim Dillah-Evariste a souligné que le mouvement citoyen Jeunesse en Marche se révèle dans un contexte socio-politique marqué par des questionnements d’ordre existentiel et physiologique. Selon lui, depuis bientôt 60 ans après la proclamation de la République, la jeunesse tchadienne est défaite et déconstruite par des "profito-situationnistes" qui n’ont aucun grain de nationalisme et aucun sens du patriotisme.
« La jeunesse est toujours invitée au combat mais est exclue de la table des convives. La jeunesse est toujours conviée aux campagnes électorales mais pas au moment de ripailles. La jeunesse est toujours endormie par des beaux discours mais jamais éduquée dans l’Unité - Travail - Progrès. Toutes les valeurs sont inversées et le Tchad s’assombrit du jour en jour. C’est pourquoi, Jeunesse en Marche est le mouvement de tout jeune en quête d’un Tchad uni, libre et prospère », a martelé le coordinateur du mouvement citoyen Jeunesse en marche, Miarim Dillah-Evariste.
Par ailleurs, il a déclaré que la Jeunesse en Marche est solidaire des syndicats dans leur lutte contre le dépouillement du fonctionnaire tchadien de ses maigres ressources salariales, et des étudiants pour le rétablissement de leur bourse et pour l’annulation de l’augmentation des frais d’inscription. Jeunesse en Marche, dit-il, est solidaire des maîtres communautaires dans le règlement de leurs arriérés de subsides et solidaire des retraités pour la jouissance de leurs pensions de retraite.
Le mouvement citoyen Jeunesse en Marche exprime sa solidarité au peuple tchadien dans le combat quotidien contre la faim, la soif, l’oppression et l’humiliation et à lutte des leaders d’opinion qui paient de leur vie pour défendre le peuple d’après lui. Il se dit solidaire des journalistes et activistes qui sont régulièrement menacés, arrêtés, torturés et liquidés.
Il naît des cendres du désespoir et de l’abattement de la jeunesse désabusée et désillusionnée. Il se définit comme la voix des victimes de l'arbitraire, de la dictature, de l'injustice, de la corruption, de la concussion, du népotisme, du clanisme, du tribalisme, du confessionnalisme et de la confiscation du pouvoir, d’après les initiateurs.
"Jeunesse en Marche" est une plate-forme des jeunes tchadiens de l’intérieur et de la diaspora soucieux du devenir du Tchad, aujourd’hui, banalisé et réduit à clochardisation.
La coordination de la Jeunesse en Marche au service de la jeunesse tchadienne est composée de dix (10) membres qui se disent déterminés à défendre l’intérêt général et en particulier celui de la jeunesse tchadienne.
Le coordinateur du mouvement citoyen Jeunesse en marche, Miarim Dillah-Evariste a souligné que le mouvement citoyen Jeunesse en Marche se révèle dans un contexte socio-politique marqué par des questionnements d’ordre existentiel et physiologique. Selon lui, depuis bientôt 60 ans après la proclamation de la République, la jeunesse tchadienne est défaite et déconstruite par des "profito-situationnistes" qui n’ont aucun grain de nationalisme et aucun sens du patriotisme.
« La jeunesse est toujours invitée au combat mais est exclue de la table des convives. La jeunesse est toujours conviée aux campagnes électorales mais pas au moment de ripailles. La jeunesse est toujours endormie par des beaux discours mais jamais éduquée dans l’Unité - Travail - Progrès. Toutes les valeurs sont inversées et le Tchad s’assombrit du jour en jour. C’est pourquoi, Jeunesse en Marche est le mouvement de tout jeune en quête d’un Tchad uni, libre et prospère », a martelé le coordinateur du mouvement citoyen Jeunesse en marche, Miarim Dillah-Evariste.
Par ailleurs, il a déclaré que la Jeunesse en Marche est solidaire des syndicats dans leur lutte contre le dépouillement du fonctionnaire tchadien de ses maigres ressources salariales, et des étudiants pour le rétablissement de leur bourse et pour l’annulation de l’augmentation des frais d’inscription. Jeunesse en Marche, dit-il, est solidaire des maîtres communautaires dans le règlement de leurs arriérés de subsides et solidaire des retraités pour la jouissance de leurs pensions de retraite.
Le mouvement citoyen Jeunesse en Marche exprime sa solidarité au peuple tchadien dans le combat quotidien contre la faim, la soif, l’oppression et l’humiliation et à lutte des leaders d’opinion qui paient de leur vie pour défendre le peuple d’après lui. Il se dit solidaire des journalistes et activistes qui sont régulièrement menacés, arrêtés, torturés et liquidés.