Le 1er mars 2019, une commission tripartite a rendu publique un rapport dans lequel elle recommande la suspension de la Faculté de médecine et de sciences de la santé de l’Université Emi Koussi.
Plusieurs motifs ont été invoqués, notamment : l’absence de texte du ministère de l'Enseignement supérieur encadrant l’accord de délocalisation de la faculté tunisienne de SFAX à l’UNEK du Tchad ; l’inexistence d’une autorisation d’ouverture d’une Faculté de médecine à l’UNEK ; l’absence d’une structure sanitaire pouvant assurer l’encadrement pratique des étudiants ; et l’inexistence d'enseignants permanents et de chefs de départements.
La suspension de cette faculté de médecine de l’UNEK suscite l’incompréhension de certains médecins et enseignants à la Faculté de médecine de l’Université de N'Djamena.
Le pharmacologue, Dr. Kabede Zoua Tessou, par ailleurs enseignant permanent à la Faculté de sciences de la santé, indique, après avoir parcouru de façon diagonale le rapport, que la Faculté de médecine de l'UNEK remplit bel et bien les critères de l’enseignement.
Selon lui, si tel est le cas, le problème est d’ordre juridique et non pas académique. Dr. Kabede Zoua Tessou appelle les ministres de l’Enseignement supérieur et de la Santé publique à réfléchir sur la levée de cette mesure qui pénalise sérieusement les étudiants.
Plusieurs motifs ont été invoqués, notamment : l’absence de texte du ministère de l'Enseignement supérieur encadrant l’accord de délocalisation de la faculté tunisienne de SFAX à l’UNEK du Tchad ; l’inexistence d’une autorisation d’ouverture d’une Faculté de médecine à l’UNEK ; l’absence d’une structure sanitaire pouvant assurer l’encadrement pratique des étudiants ; et l’inexistence d'enseignants permanents et de chefs de départements.
La suspension de cette faculté de médecine de l’UNEK suscite l’incompréhension de certains médecins et enseignants à la Faculté de médecine de l’Université de N'Djamena.
Le pharmacologue, Dr. Kabede Zoua Tessou, par ailleurs enseignant permanent à la Faculté de sciences de la santé, indique, après avoir parcouru de façon diagonale le rapport, que la Faculté de médecine de l'UNEK remplit bel et bien les critères de l’enseignement.
Selon lui, si tel est le cas, le problème est d’ordre juridique et non pas académique. Dr. Kabede Zoua Tessou appelle les ministres de l’Enseignement supérieur et de la Santé publique à réfléchir sur la levée de cette mesure qui pénalise sérieusement les étudiants.