Menu
Tchad : flambée de prix des céréales au marché de Mao
Mao, chef-lieu de la province du Kanem, est située à 300 km au nord de la capitale. Cette ville connaît ces derniers temps une flambée du prix des céréales sur le marché.
Suite à la mauvaise répartition pluviométrique qu'à connu la province, les céréales sont importées des provinces voisines à l'exemple du Lac, voire de Gama à 327 km de Mao.
Sur le marché, le prix d'un sac de mil s'élève à 29.000 Fcfa voire 30.000 Fcfa, a constaté Alwihda Info.
Le prix d'un sac de maïs est de 27.000 Fcfa, le sac de riz de 50 kg coûte 24.000 Fcfa, les cartons de 24 sachets de spaghettis et macaronis varient de 6500 à 7000 Fcfa dans certaines boutiques.
Une mauvaise pluviométrie
La situation agricole est jugée inquiétante cette année face à la mauvaise pluviométrie. Pour la déléguée de l'agriculture, Rasseme Djimassem, "la situation est critique. La campagne de cette année est très mauvaise. La pluie est venue très en retard, les cultures n'ont pas atteint leur cycle".
Le 11 octobre, le gouverneur du kanem, le général Ousman Brahim Djouma, a fait une descente sur le terrain. "La pluviométrie n'est pas bonne", a-t-il reconnu.
Le gouverneur a demandé au ministère en charge de l'agriculture d'entreposer une grande quantité de céréales dans l'entrepôt de l'Office national de la sécurité alimentaire (ONASA) pour subvenir aux besoins de la population du Kanem l'année prochaine.
Suite à la mauvaise répartition pluviométrique qu'à connu la province, les céréales sont importées des provinces voisines à l'exemple du Lac, voire de Gama à 327 km de Mao.
Sur le marché, le prix d'un sac de mil s'élève à 29.000 Fcfa voire 30.000 Fcfa, a constaté Alwihda Info.
Le prix d'un sac de maïs est de 27.000 Fcfa, le sac de riz de 50 kg coûte 24.000 Fcfa, les cartons de 24 sachets de spaghettis et macaronis varient de 6500 à 7000 Fcfa dans certaines boutiques.
Une mauvaise pluviométrie
La situation agricole est jugée inquiétante cette année face à la mauvaise pluviométrie. Pour la déléguée de l'agriculture, Rasseme Djimassem, "la situation est critique. La campagne de cette année est très mauvaise. La pluie est venue très en retard, les cultures n'ont pas atteint leur cycle".
Le 11 octobre, le gouverneur du kanem, le général Ousman Brahim Djouma, a fait une descente sur le terrain. "La pluviométrie n'est pas bonne", a-t-il reconnu.
Le gouverneur a demandé au ministère en charge de l'agriculture d'entreposer une grande quantité de céréales dans l'entrepôt de l'Office national de la sécurité alimentaire (ONASA) pour subvenir aux besoins de la population du Kanem l'année prochaine.
