De Deby père au Deby fils vers l’opposition à la société civile, la jeunesse tchadienne est manipulée et utilisée pour des intérêts égoïstes. En 2018 pour joindre la parole en acte, le défunt Maréchal du Tchad Idriss Deby Itno a nommé quelques ministres âgés de moins de 30 ans. Malheureusement, ces sont les enfants de ses collaborateurs, les amis de ses fils, ses filles et ses beaux-parents.
D’aucun cadre légal pour permettre à la jeunesse de participer à la gestion de la chose publique, sauf les utiliser pour garantir leur intérêt. Ceux qui ont aujourd’hui pris part à ce forum, ce ne sont que des jeunes d’un même cercle car la composition de membre du Conseil national de la jeunesse du Tchad (CNJT) est un regroupement d'amis de l’Université et des connaissances.
Que vont-ils dire s’ils n’ont pas connu les difficultés que la jeunesse tchadienne connait aujourd’hui? Eux qui se battent déjà pour des miettes, du moment où des diplômés sont contraints d’exercer les petits métiers de domestiques, mototaxis, gardiens de nuits ou vendeurs ambulants pour se faire une place dans leur propre pays. Les uns, plus courageux, ont embrassé le chemin de l’immigration tandis que les autres ont creusé leur propre tombe à la recherche de l’or au Nord du pays.
C’est une honte de parler de la jeunesse tchadienne dont le système éducatif est saccagé et où est enseigné des valeurs telles que la corruption, la gabegie, la confiscation du pouvoir, la division, la haine. Quel avenir rêve-t-on pour une jeunesse sans boussole ? Espère-t-on bâtir une jeunesse dans le mensonge ou les religieux applaudissent une langue de vipère ? Autant d'interrogations, tant qu’on n’amorce pas la question de l’unification de la jeunesse et de la promotion de l’égalité de l’insertion de la jeunesse dans les institutions car ils sont des bras valides qu'on doit utiliser pour un meilleur développement.
D’aucun cadre légal pour permettre à la jeunesse de participer à la gestion de la chose publique, sauf les utiliser pour garantir leur intérêt. Ceux qui ont aujourd’hui pris part à ce forum, ce ne sont que des jeunes d’un même cercle car la composition de membre du Conseil national de la jeunesse du Tchad (CNJT) est un regroupement d'amis de l’Université et des connaissances.
Que vont-ils dire s’ils n’ont pas connu les difficultés que la jeunesse tchadienne connait aujourd’hui? Eux qui se battent déjà pour des miettes, du moment où des diplômés sont contraints d’exercer les petits métiers de domestiques, mototaxis, gardiens de nuits ou vendeurs ambulants pour se faire une place dans leur propre pays. Les uns, plus courageux, ont embrassé le chemin de l’immigration tandis que les autres ont creusé leur propre tombe à la recherche de l’or au Nord du pays.
C’est une honte de parler de la jeunesse tchadienne dont le système éducatif est saccagé et où est enseigné des valeurs telles que la corruption, la gabegie, la confiscation du pouvoir, la division, la haine. Quel avenir rêve-t-on pour une jeunesse sans boussole ? Espère-t-on bâtir une jeunesse dans le mensonge ou les religieux applaudissent une langue de vipère ? Autant d'interrogations, tant qu’on n’amorce pas la question de l’unification de la jeunesse et de la promotion de l’égalité de l’insertion de la jeunesse dans les institutions car ils sont des bras valides qu'on doit utiliser pour un meilleur développement.