Grogne des élèves de quelques établissements scolaires publics de la ville de Pala ce lundi 15 février. Plusieurs dizaines d'élèves ont manifesté leur colère par la destruction des matériels et biens de quelques écoles privées de la ville. Ce sont des tableaux, des tables-bancs, des portes et des drapeaux qui ont été détruits au passage des manifestants. Par exemple, au complexe scolaire Franco-anglais Let's Go, après avoir saccagé les locaux de l'école, les manifestants ont mis le drapeau en berne, avant de le descendre, le déchirer et emporter les morceaux.
La police municipale, la police nationale et d'autres agents de sécurité ont dispersé certains manifestants à coups de matraques et gaz lacrymogènes. Des cas de blessés ont été enregistrés et plusieurs personnes ont reçu des coups de gifles lors du passage des élèves en colère. Les élèves portant les tenues des écoles privées ont été beaucoup plus la cible des manifestants.
A Pala et dans le Mayo Kebbi Ouest dans son ensemble, depuis le 6 février dernier, date de la reprise des cours dans les établissements scolaires publics après la grève de la plateforme syndicale revendicative qui a durée plus de trois semaines, beaucoup d'élèves n'ont pas vu leurs enseignants car ces derniers sont occupés pour le recensement des agents civils de l'État.
La police municipale, la police nationale et d'autres agents de sécurité ont dispersé certains manifestants à coups de matraques et gaz lacrymogènes. Des cas de blessés ont été enregistrés et plusieurs personnes ont reçu des coups de gifles lors du passage des élèves en colère. Les élèves portant les tenues des écoles privées ont été beaucoup plus la cible des manifestants.
A Pala et dans le Mayo Kebbi Ouest dans son ensemble, depuis le 6 février dernier, date de la reprise des cours dans les établissements scolaires publics après la grève de la plateforme syndicale revendicative qui a durée plus de trois semaines, beaucoup d'élèves n'ont pas vu leurs enseignants car ces derniers sont occupés pour le recensement des agents civils de l'État.