Les prévisions de recettes pétrolières directes et indirectes pour l'exercice 2018 sont de 230,319 milliards de FCFA contre 81,501 milliards de FCFA du collectif budgétaire 2017. Elles sont en augmentation de 148,818 milliards de FCFA et sont constituées de l'impôt sur les sociétés du consortium d'un montant de 22,680 milliards de FCFA des redevances statistiques à l'exportation estimées à 5,089 milliards de FCFA, de la redevance et des dividendes évaluées à 188,230 milliards de FCFA et autres recettes pétrolières d'un montant de 14,320 milliards de FCFA.
L'impôt sur les sociétés (IS) du consortium projeté en 2018 est de 22,680 milliards de FCFA contre 43,480 milliards de FCFA de prévus dans le collectif budgétaire 2017. Les prévisions de l'impôt sur les sociétés du consortium pour 2018 sont en baisse de 20,8 milliards de FCFA soit un taux de -47,83%.
Les redevances statistiques liées à l'exportation du brut sont évaluées à 5,089 milliards de FCFA contre 3,093 milliards de FCFA de prévues dans le collectif budgétaire 2017. Elles sont en hausse de 1,996 milliards de FCFA, soit un taux de 64,5%.
Les redevances sur la production attendues en 2018 sont évaluées à 188,230 milliards de FCFA contre 32,928 milliards de FCFA de la loi de finances rectificative 2017. Elles sont en hause de 155,302 milliards de FCFA, soit un taux de croissance de 471,64%. Les redevances pétrolières attendues en 2018 représentent 28,82% des prévisions des recettes ordinaires de l'Etat qui sont projetées à 653,089 milliards de FCFA.
La hausse des ressources pétrolières projetée en 2018 s'explique en partie, selon le Ministre en charge des Finances et du Budget dans la note de présentation, par la mise en vigueur du récent accord conclu entre l'Etat et les sociétés pétrolières.
Les revenus pétroliers représentent seulement 35,26% des recettes ordinaires attendues qui sont de 653,089 milliards de FCFA. La décroissances des revenus pétroliers ces dernières années dans le budget de l'Etat est liée non seulement au maintien du cours du brut relativement bas mais aussi et surtout à la dette Glencore liée à l'achat des parts de Chevron dans le consortium qui assèche les ressources publiques.
L'impôt sur les sociétés (IS) du consortium projeté en 2018 est de 22,680 milliards de FCFA contre 43,480 milliards de FCFA de prévus dans le collectif budgétaire 2017. Les prévisions de l'impôt sur les sociétés du consortium pour 2018 sont en baisse de 20,8 milliards de FCFA soit un taux de -47,83%.
Les redevances statistiques liées à l'exportation du brut sont évaluées à 5,089 milliards de FCFA contre 3,093 milliards de FCFA de prévues dans le collectif budgétaire 2017. Elles sont en hausse de 1,996 milliards de FCFA, soit un taux de 64,5%.
Les redevances sur la production attendues en 2018 sont évaluées à 188,230 milliards de FCFA contre 32,928 milliards de FCFA de la loi de finances rectificative 2017. Elles sont en hause de 155,302 milliards de FCFA, soit un taux de croissance de 471,64%. Les redevances pétrolières attendues en 2018 représentent 28,82% des prévisions des recettes ordinaires de l'Etat qui sont projetées à 653,089 milliards de FCFA.
La hausse des ressources pétrolières projetée en 2018 s'explique en partie, selon le Ministre en charge des Finances et du Budget dans la note de présentation, par la mise en vigueur du récent accord conclu entre l'Etat et les sociétés pétrolières.
Les revenus pétroliers représentent seulement 35,26% des recettes ordinaires attendues qui sont de 653,089 milliards de FCFA. La décroissances des revenus pétroliers ces dernières années dans le budget de l'Etat est liée non seulement au maintien du cours du brut relativement bas mais aussi et surtout à la dette Glencore liée à l'achat des parts de Chevron dans le consortium qui assèche les ressources publiques.