Le ministre de l'Education nationale et de la Promotion civique, Aboubakar Siddick Choroma a appelé la semaine dernière à ne pas encourager la création anarchique d'écoles dans le pays, au cours d'une tournée régionale qui l'a conduit à Abéché, dans la province du Ouaddaï.
"Ce que vous devez faire, c'est de prendre au sérieux l'école. Chaque village aujourd'hui construit une école. Il ne faut pas encourager ces créations anarchiques des écoles. C'est pas dans notre avantage. Quelques soient les moyens, le nombre d'enseignants que l'Etat mettra à votre disposition, vous ne pouvez pas faire face à la demande", a déclaré le chef du département de l'Education nationale.
Au cours du déplacement à Abéché, le ministre Aboubakar Siddick Choroma et sa délégation ont visité plusieurs établissements scolaires, dont le Lycée Franco-arabe, le Lycée féminin bilingue et le Lycée Mahamat Yacoub Dabio.
Accompagné du secrétaire général de la province du Ouaddaï, Mahamat Abdelkérim Ali, le ministre a tenu à s'enquérir des conditions de fonctionnement des établissements. Parmi les doléances exprimées par les responsables du secteur éducatif au Ouaddaï figurent le manque d'enseignants francophones et de moyens matériels.
"Ce que vous devez faire, c'est de prendre au sérieux l'école. Chaque village aujourd'hui construit une école. Il ne faut pas encourager ces créations anarchiques des écoles. C'est pas dans notre avantage. Quelques soient les moyens, le nombre d'enseignants que l'Etat mettra à votre disposition, vous ne pouvez pas faire face à la demande", a déclaré le chef du département de l'Education nationale.
Au cours du déplacement à Abéché, le ministre Aboubakar Siddick Choroma et sa délégation ont visité plusieurs établissements scolaires, dont le Lycée Franco-arabe, le Lycée féminin bilingue et le Lycée Mahamat Yacoub Dabio.
Accompagné du secrétaire général de la province du Ouaddaï, Mahamat Abdelkérim Ali, le ministre a tenu à s'enquérir des conditions de fonctionnement des établissements. Parmi les doléances exprimées par les responsables du secteur éducatif au Ouaddaï figurent le manque d'enseignants francophones et de moyens matériels.