Le 3 février 2025, un groupe de 402 anciens employés des bases militaires françaises à Adji Kossei, N’Djaména, Abéché, et Faya a tenu un point de presse pour exprimer leurs préoccupations suite à leur licenciement pour des raisons économiques.
Ces ex-employés ont réaffirmé leur soutien aux plus hautes autorités du pays concernant la décision souveraine de mettre fin à la coopération de défense avec la France.
Ils ont cependant exprimé une profonde préoccupation face à la situation sociale difficile qu'ils traversent depuis leur licenciement, qui a eu lieu après la rupture des accords de sécurité avec la France.
Les anciens employés ont demandé une prise en charge professionnelle et des mesures d’accompagnement pour les aider à faire face à leurs nouvelles réalités. Leur porte-parole a souligné l'urgence de leur situation, appelant les autorités à agir rapidement pour leur offrir un soutien adéquat.
Cette déclaration met en lumière les défis auxquels ces ex-employés sont confrontés dans un contexte de transition et de changement dans les relations entre le Tchad et la France.