Le ministre de la Fonction publique, du Dialogue social et du Travail, Ali Mbodou Mbodoumi, a été interpellé jeudi à l'Assemblée nationale par le député Saleh Kebzabo, notamment sur des accusations de "favoritisme aux relents de régionalisme et de népotisme" dans des recrutements à la fonction publique.
Il a expliqué que les 1638 agents de santé -recrutés dans le cadre de la crise sanitaire- ont été intégrés sur la base de 333 actes, alors que le comparatif qui a fait l'objet de débats sur les réseaux sociaux s'est basé sur les 12 premiers actes.
"En ce qui concerne le recrutement exceptionnel, je dis bien exceptionnel, de 1638 agents de santé, il a été conduit conformément à la formulation par le ministère de la Santé publique. Il a été demandé au ministre utilisateur de nous répartir les 1638 agents en terme de nombre et de profils sollicités", a expliqué le ministre.
"La sélection des dossiers a été faite par une commission"
Selon Ali Mbodou Mbodoumi, "le recrutement exceptionnel de ces 1638 agents de santé a été opéré sur des critères très objectifs et légaux. En efffet, la sélection des dossiers a été faite par une commission qui a été mise en place à cet effet, et comprenant les cadres du ministère des Finances, du ministère de la Santé, du ministère de la Fonction publique et du secrétariat général du gouvernement, tout en respectant les exigences légales requises."
Il a ajouté que "considérant le nombre important de candidats et la limite imposée dans ce recrutement ponctuel, il peut y avoir des mécontents. (...) Il est normal que l'opinion se préoccupe de la transparence et de l'objectivité du processus."
"Eu égard aux dispositions prises par nos soins, nous pensons honnêtement que tous ces cadres ne peuvent être d'une même province voire même d'une même famille pour opérer ces recrutements sur la base des considérations régionalistes ou népotistes. Par rapport aux 1638 postes à pourvoir, le recrutement a été opéré sur un lot de 4242 dossiers des agents de santé en instance d'intégration à la fonction publique, dont des diplômés des écoles publiques et privées", a dit le ministre.
Il a expliqué que les 1638 agents de santé -recrutés dans le cadre de la crise sanitaire- ont été intégrés sur la base de 333 actes, alors que le comparatif qui a fait l'objet de débats sur les réseaux sociaux s'est basé sur les 12 premiers actes.
"En ce qui concerne le recrutement exceptionnel, je dis bien exceptionnel, de 1638 agents de santé, il a été conduit conformément à la formulation par le ministère de la Santé publique. Il a été demandé au ministre utilisateur de nous répartir les 1638 agents en terme de nombre et de profils sollicités", a expliqué le ministre.
"La sélection des dossiers a été faite par une commission"
Selon Ali Mbodou Mbodoumi, "le recrutement exceptionnel de ces 1638 agents de santé a été opéré sur des critères très objectifs et légaux. En efffet, la sélection des dossiers a été faite par une commission qui a été mise en place à cet effet, et comprenant les cadres du ministère des Finances, du ministère de la Santé, du ministère de la Fonction publique et du secrétariat général du gouvernement, tout en respectant les exigences légales requises."
Il a ajouté que "considérant le nombre important de candidats et la limite imposée dans ce recrutement ponctuel, il peut y avoir des mécontents. (...) Il est normal que l'opinion se préoccupe de la transparence et de l'objectivité du processus."
"Eu égard aux dispositions prises par nos soins, nous pensons honnêtement que tous ces cadres ne peuvent être d'une même province voire même d'une même famille pour opérer ces recrutements sur la base des considérations régionalistes ou népotistes. Par rapport aux 1638 postes à pourvoir, le recrutement a été opéré sur un lot de 4242 dossiers des agents de santé en instance d'intégration à la fonction publique, dont des diplômés des écoles publiques et privées", a dit le ministre.