Le président français Emmanuel Macron et la ministre Mariam Mahamat Nour, le 23 décembre 2018 à la Maison de la Femme à N'Djamena.
L’Agence française de développement (AFD) et le ministère de la Santé publique, signeront demain, mardi 5 mars 2019, au ministère de la Santé publique, le financement d’un projet d'autonomisation sociale des femmes tchadiennes pour un meilleur accès aux services de santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile et des adolescentes (SRMNIA), à la planification familiale (PF) et la prise en compte des violences basées sur le genre (VBG).
Ce projet visera en priorité les provinces du Mandoul et du Logone Oriental. Il aura une durée de 3 ans.
Le Projet d’autonomisation sociale des femmes tchadiennes par l’accès aux services de Santé et la prise en compte des violences basées sur le genre (PASFASS) a pour but d’améliorer l’autonomisation sociale des femmes tchadiennes par un meilleur accès aux services de santé primaire reproductive maternelle, néonatale, infantile et de l’adolescent, ainsi qu’au planning familial, et la prise en compte des violences basées sur le genre.
Dans les provinces ciblées par le projet (Mandoul et Logone Oriental) où les taux de mortalité infantile sont au-dessus de la moyenne nationale, il s’agira d’une part d’accroître la demande des services de santé avec un accent particulier sur l’approche communautaire soutenue par le ministère de la Santé publique, d’autre part d’améliorer la qualité de l’offre des services, et enfin de soutenir l’ensemble de l’action par un mécanisme de recherche-action.
Le financement de ce projet accompagnera 45 structures sanitaires à travers des activités de renforcement de leurs capacités, des dotations en équipements et médicaments et des rénovations des structures.
Par ailleurs, il cherchera à améliorer l’accès des populations les plus éloignées aux services de santé.
Au total 548.000 personnes bénéficieront d’un accès amélioré à des soins de qualité, dont 120.000 femmes en âge de procréer. Une attention particulière sera accordée aux jeunes, aux femmes enceintes et aux enfants de moins de 5 ans (ces groupes représentant 45% des bénéficiaires du projet).
Ce projet visera en priorité les provinces du Mandoul et du Logone Oriental. Il aura une durée de 3 ans.
Le Projet d’autonomisation sociale des femmes tchadiennes par l’accès aux services de Santé et la prise en compte des violences basées sur le genre (PASFASS) a pour but d’améliorer l’autonomisation sociale des femmes tchadiennes par un meilleur accès aux services de santé primaire reproductive maternelle, néonatale, infantile et de l’adolescent, ainsi qu’au planning familial, et la prise en compte des violences basées sur le genre.
Dans les provinces ciblées par le projet (Mandoul et Logone Oriental) où les taux de mortalité infantile sont au-dessus de la moyenne nationale, il s’agira d’une part d’accroître la demande des services de santé avec un accent particulier sur l’approche communautaire soutenue par le ministère de la Santé publique, d’autre part d’améliorer la qualité de l’offre des services, et enfin de soutenir l’ensemble de l’action par un mécanisme de recherche-action.
Le financement de ce projet accompagnera 45 structures sanitaires à travers des activités de renforcement de leurs capacités, des dotations en équipements et médicaments et des rénovations des structures.
Par ailleurs, il cherchera à améliorer l’accès des populations les plus éloignées aux services de santé.
Au total 548.000 personnes bénéficieront d’un accès amélioré à des soins de qualité, dont 120.000 femmes en âge de procréer. Une attention particulière sera accordée aux jeunes, aux femmes enceintes et aux enfants de moins de 5 ans (ces groupes représentant 45% des bénéficiaires du projet).