
« La démocratie, la liberté d’expression et de presse sont un ensemble des composantes inhérentes à l'exercice de la citoyenneté dans un pays qui se dit pays de droit.
En début d’année 2025, l’ASFEDYC a assisté à des cas de violations de diverses typologies dont les viols, les cas de féminicides, l’insécurité grandissante perturbant ainsi la quiétude de la population en général, les jeunes filles et femmes en particulier.
Et, comme cela ne suffisait pas, au lieu que le gouvernement tchadien se penche sur les réels problèmes des citoyens, notamment, la sécurité des personnes et de leurs biens, l’applicabilité des textes et lois nationaux qui protègent les jeunes filles et femmes, la flambée des prix des denrées de première nécessité, il se livre allégrement aux arrestations arbitraires des journalistes.
C’est que l’on peut qualifier d'intimidation à la profession du journaliste au Tchad. Ainsi, le cas le plus récent est celui du 05 mars 2025 marqué par l'arrestation du directeur de publication et journaliste Monodji Mbaidinguim Olivier, qui croupissent depuis le 10 mars 2025 à la maison d’arrêt de Klessoum.
En revanche, l’Association des Femmes pour le Dynamisme Citoyen au Tchad (ASFEDYC), en tant qu’organisation œuvrant pour un Etat juste et égalitaire pour tous et toutes en promouvant les bonnes pratiques de gouvernance et des libertés fondamentales, plaide auprès des autorités compétentes pour la libération du journaliste Monodji Mbaidinguim Olivier et ses codétenus dans un bref délai.
Rappelons qu’aujourd’hui et plus que jamais, les journalistes participent de manière significative dans la promotion et la protection des droits des femmes dans notre pays le Tchad. De tout ce qui précède, nous exprimons toute notre solidarité aux organisations faitières de défense des droits des journalistes tchadiens, en l’occurrence l’Union des Journalistes Tchadiens (UJT), au journaliste Monodji Mbaidinguim Olivier et ses compagnons, sa famille ainsi que ses amis de lutte. Fait à N’Djaména, le 18 mars 2025. ».
Telle est la quintessence du communiqué signé par la coordinatrice de l’ASFEDYC, Mme Madjilem Alphonsine.
En début d’année 2025, l’ASFEDYC a assisté à des cas de violations de diverses typologies dont les viols, les cas de féminicides, l’insécurité grandissante perturbant ainsi la quiétude de la population en général, les jeunes filles et femmes en particulier.
Et, comme cela ne suffisait pas, au lieu que le gouvernement tchadien se penche sur les réels problèmes des citoyens, notamment, la sécurité des personnes et de leurs biens, l’applicabilité des textes et lois nationaux qui protègent les jeunes filles et femmes, la flambée des prix des denrées de première nécessité, il se livre allégrement aux arrestations arbitraires des journalistes.
C’est que l’on peut qualifier d'intimidation à la profession du journaliste au Tchad. Ainsi, le cas le plus récent est celui du 05 mars 2025 marqué par l'arrestation du directeur de publication et journaliste Monodji Mbaidinguim Olivier, qui croupissent depuis le 10 mars 2025 à la maison d’arrêt de Klessoum.
En revanche, l’Association des Femmes pour le Dynamisme Citoyen au Tchad (ASFEDYC), en tant qu’organisation œuvrant pour un Etat juste et égalitaire pour tous et toutes en promouvant les bonnes pratiques de gouvernance et des libertés fondamentales, plaide auprès des autorités compétentes pour la libération du journaliste Monodji Mbaidinguim Olivier et ses codétenus dans un bref délai.
Rappelons qu’aujourd’hui et plus que jamais, les journalistes participent de manière significative dans la promotion et la protection des droits des femmes dans notre pays le Tchad. De tout ce qui précède, nous exprimons toute notre solidarité aux organisations faitières de défense des droits des journalistes tchadiens, en l’occurrence l’Union des Journalistes Tchadiens (UJT), au journaliste Monodji Mbaidinguim Olivier et ses compagnons, sa famille ainsi que ses amis de lutte. Fait à N’Djaména, le 18 mars 2025. ».
Telle est la quintessence du communiqué signé par la coordinatrice de l’ASFEDYC, Mme Madjilem Alphonsine.