Les députés ont adopté lundi le projet de loi portant création d’un fonds pour l’entrepreneuriat des jeunes. Ils se sont exprimés en faveur du texte à 154 voix pour, zéro contre et zéro abstention.
Le nouveau texte "met en place un mécanisme original d’octroi des prêts par les banques commerciales partenaires, avec la garantie de l’État d’une part, et en cofinancement avec l’État d’autre part, sur la base d’une convention signée entre l’État, représenté par le ministre des Finances et du Budget et les banques", précise le département ministériel.
Le ministre Tahir Hamid Nguilin a apporté des explications aux députés sur le bien-fondé du projet de loi portant création du fonds pour l’entrepreneuriat des jeunes, approuvé deux jours plus tôt en commission parlementaire.
"Après analyse, les élus du peuple ont trouvé que ce projet de Loi est crédible en ce qu’il permet d’octroyer des crédits aux jeunes entrepreneurs et une ouverture pour l’auto-emploi durable pour les jeunes", indique le ministère des Finances et du Budget.
"Malgré les progrès notoires accomplis dans le développement socio-économique par les différents acteurs, des défis majeurs persistent", reconnait la Commission économie et plan dans son rapport.
Selon elle, "la crise sanitaire a contraint le Tchad à connaitre la faillite de son sytème économique, puis la fermeture de tous les marchés. Cette situation a engendré l'absence de sources de financement pour l'ensemble des secteurs essentiels de l'économie tels que l'agriculture, l'artisanat et les petites et moyennes entreprises (PME)."
"Ce projet vise à promouvoir les talents entrepreneuriaux des jeunes et au-delà le développement économique et social, voeu cher des hautes autorités de la République, et à mieux tenir compte des aspirations réelles des jeunes à participer à la transition d'une économie de subsistance à une économique de production dans un élan de prise de conscience soutenue", explique la Commission.
Au regard de l'importance du projet sur le quotidien des jeunes et du développement économique du Tchad, la Commission économie et plan avait recommandé la semaine dernière à la plénière de l'entériner.
Le nouveau texte "met en place un mécanisme original d’octroi des prêts par les banques commerciales partenaires, avec la garantie de l’État d’une part, et en cofinancement avec l’État d’autre part, sur la base d’une convention signée entre l’État, représenté par le ministre des Finances et du Budget et les banques", précise le département ministériel.
Le ministre Tahir Hamid Nguilin a apporté des explications aux députés sur le bien-fondé du projet de loi portant création du fonds pour l’entrepreneuriat des jeunes, approuvé deux jours plus tôt en commission parlementaire.
"Après analyse, les élus du peuple ont trouvé que ce projet de Loi est crédible en ce qu’il permet d’octroyer des crédits aux jeunes entrepreneurs et une ouverture pour l’auto-emploi durable pour les jeunes", indique le ministère des Finances et du Budget.
"Malgré les progrès notoires accomplis dans le développement socio-économique par les différents acteurs, des défis majeurs persistent", reconnait la Commission économie et plan dans son rapport.
Selon elle, "la crise sanitaire a contraint le Tchad à connaitre la faillite de son sytème économique, puis la fermeture de tous les marchés. Cette situation a engendré l'absence de sources de financement pour l'ensemble des secteurs essentiels de l'économie tels que l'agriculture, l'artisanat et les petites et moyennes entreprises (PME)."
"Ce projet vise à promouvoir les talents entrepreneuriaux des jeunes et au-delà le développement économique et social, voeu cher des hautes autorités de la République, et à mieux tenir compte des aspirations réelles des jeunes à participer à la transition d'une économie de subsistance à une économique de production dans un élan de prise de conscience soutenue", explique la Commission.
Au regard de l'importance du projet sur le quotidien des jeunes et du développement économique du Tchad, la Commission économie et plan avait recommandé la semaine dernière à la plénière de l'entériner.