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Tchad : l’UJR plaide pour les lauréats des Ecoles professionnelles de l’éducation
Photo archives Alwihda Info.
L'Union des jeunes pour le renouveau (UJR) exhorte les autorités de la Transition à trouver une solution en urgence, aux revendications des lauréats des Écoles professionnelles de l'éducation. En effet, dans un communiqué de presse rendu public le 27 juin 2021, l’UJR estime que « la situation des lauréats des Ecoles professionnelles de l’éducation, en instance d’intégration à la Fonction publique, est préoccupante et mérite d’être traitée en urgence et avec une considération particulière ».
L’UJR rappelle les événements de la Bourse du Travail, en date du 24 juin, qui pour elle, sont loin d’honorer le Tchad. « Les jeunes qui ont étudié dans des conditions difficiles, sont engagés malgré tout à servir l’Etat à travers leur métier d’enseignant », peut-on lire. Mais, ce qui est déplorable, selon l’UJR, c’est que l’Etat ne veut pas les intégrer à la Fonction publique. Tout au contraire, « la réponse à leurs revendications légitimes a malheureusement été une intervention brutale du Groupement mobile d’intervention de la police (GMIP) ».
En sa qualité d’organe affilié à l’UNDR, l’UJR reste soucieuse de l’avenir de la jeunesse tchadienne et surtout, par la question de l’emploi. Par conséquent, elle juge légitimes, les revendications des lauréats des Ecoles professionnelles de l’éducation en instance d’intégration à la Fonction publique. Elle exprime par ailleurs son regret, par rapport à la violence faite sur leurs personnes par les policiers à la Bourse de travail, le jeudi 24 juin 2021.
Enfin, l’UJR demande aux autorités publiques « de répondre favorablement et urgemment à leurs revendications afin de préserver la paix sociale et la sécurité souhaitée par tous ».
L’UJR rappelle les événements de la Bourse du Travail, en date du 24 juin, qui pour elle, sont loin d’honorer le Tchad. « Les jeunes qui ont étudié dans des conditions difficiles, sont engagés malgré tout à servir l’Etat à travers leur métier d’enseignant », peut-on lire. Mais, ce qui est déplorable, selon l’UJR, c’est que l’Etat ne veut pas les intégrer à la Fonction publique. Tout au contraire, « la réponse à leurs revendications légitimes a malheureusement été une intervention brutale du Groupement mobile d’intervention de la police (GMIP) ».
En sa qualité d’organe affilié à l’UNDR, l’UJR reste soucieuse de l’avenir de la jeunesse tchadienne et surtout, par la question de l’emploi. Par conséquent, elle juge légitimes, les revendications des lauréats des Ecoles professionnelles de l’éducation en instance d’intégration à la Fonction publique. Elle exprime par ailleurs son regret, par rapport à la violence faite sur leurs personnes par les policiers à la Bourse de travail, le jeudi 24 juin 2021.
Enfin, l’UJR demande aux autorités publiques « de répondre favorablement et urgemment à leurs revendications afin de préserver la paix sociale et la sécurité souhaitée par tous ».
