Le bureau national de l'Union des étudiants tchadiens (UNET) a donné samedi un préavis de 48 heures au gouvernement face à plusieurs de ses revendications. Passé ce délai, l'UNET indique qu'elle "se réservera le droit d'entreprendre des actions de grande envergure sur l'ensemble du territoire national afin de se faire entendre".
Le chargé des affaires académiques, Abdoulaye Lamana, dénonce un acte exécrable perpétré délibérément le 20 mai sur le campus universitaire de Toukra suite à la descente improvisée de la ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation. Il précise qu'il s'agit pas de l'oeuvre d'étudiants réguliers.
Selon lui, le gouvernement du Conseil militaire de transition (CMT) veut se servir d'eux comme cobaye pour la justice. "Nous disons dans ce cas d'espèce qu'il serait inique de nous imputer la responsabilité et faire inquiéter nos parents", affirme Abdoulaye Lamana.
Parmi ses revendications, l'UNET demande la libération immédiate et sans conditions de ses camarades "arbitrairement arrêtés et détenus à la maison d'arrêt", la pérennisation des restaurants universitaires, l'augmentation des bus de transport en commun des étudiants, l'organisation des élections pour le bureau exécutif de la section de N'Djamena et l'organisation du congrès de l'UNET.
Le chargé des affaires académiques, Abdoulaye Lamana, dénonce un acte exécrable perpétré délibérément le 20 mai sur le campus universitaire de Toukra suite à la descente improvisée de la ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation. Il précise qu'il s'agit pas de l'oeuvre d'étudiants réguliers.
Selon lui, le gouvernement du Conseil militaire de transition (CMT) veut se servir d'eux comme cobaye pour la justice. "Nous disons dans ce cas d'espèce qu'il serait inique de nous imputer la responsabilité et faire inquiéter nos parents", affirme Abdoulaye Lamana.
Parmi ses revendications, l'UNET demande la libération immédiate et sans conditions de ses camarades "arbitrairement arrêtés et détenus à la maison d'arrêt", la pérennisation des restaurants universitaires, l'augmentation des bus de transport en commun des étudiants, l'organisation des élections pour le bureau exécutif de la section de N'Djamena et l'organisation du congrès de l'UNET.