Selon le gouverneur, les décisions de la justice doivent être fondées sur les règles de droit. Il a souligné que les cas de Sandana 1 et 2 sont directement liés et que le manque de justice dans le premier cas a conduit au second.
Le général Djouma a averti que si la justice n'est pas rendue dans ces cas, les populations pourraient chercher à se faire justice elles-mêmes, ce qui rendrait la vie difficile dans la région. Il a donc appelé les services de la justice à prendre ces cas en considération et à rendre des décisions impartiales pour maintenir la paix et l'unité au Moyen-Chari.
« Pour une réelle réconciliation et unité au Moyen-Chari, il est important que les services de la justice rendent des décisions impartiales sur le fondement des règles de droit. Je voudrais parler du cas de Sandana 1 et 2, Lac Iro, Korbol qui sont jusqu’à présent restés sans jugement. Sandana 1 date de 2019. Sandana 2 date de mars 2022. Lac Iro date de 2022. Korbol date de 2022 aussi. Jusqu’à présent, sans jugement. Sandana 2 est la cause de Sandana 1. L’injustice de Sandana 1 a conduit à Sandana 2. Si la justice n'est pas rendue, les populations chercheront à se rendre justice et cela rendra difficile la vie. »
Le général Djouma a averti que si la justice n'est pas rendue dans ces cas, les populations pourraient chercher à se faire justice elles-mêmes, ce qui rendrait la vie difficile dans la région. Il a donc appelé les services de la justice à prendre ces cas en considération et à rendre des décisions impartiales pour maintenir la paix et l'unité au Moyen-Chari.