L’alcool en sachet fait des ravages parmi les couches les plus vulnérables de la population, y compris dans le milieu universitaire. Facile à dissimuler dans les poches ou les sacs à dos, il se retrouve habituellement dans les cours de nos facultés.
Il n’est pas rare de voir des étudiants consommer un à deux sachets de 50 millilitres, ce qui équivaut à plus de cinq bouteilles de bière, pendant les pauses, une pratique surnommée « vaccination ».
Bien que les sachets portent des avertissements tels que, « ne pas vendre aux moins de 21 ans », « la consommation abusive d’alcool est nocive pour la santé », et « ne pas vendre à proximité des écoles et lieux de culte », ainsi qu’un décret interdisant leur vente, ces boissons sont malgré tout disponibles, parfois même devant les portes des écoles et universités. Baptisé « alcool des pauvres », ce type de boisson est moins cher qu’un pain et se vend mieux qu’un gâteau de 100 FCFA.
Les étudiants consommateurs se montrent très solidaires, offrant souvent un sachet à ceux qui n’ont pas de moyens pour s’en procurer. Cette popularité crée un marché lucratif pour les hommes d’affaires, qui en tirent d’énormes profits, au détriment de la santé des étudiants.
Malgré les campagnes de sensibilisation organisées chaque année, l’alcool en sachet continue d’être largement disponible et attire toujours plus de jeunes clients. Depuis toujours, l’alcool est perçu comme un compagnon potentiellement néfaste, capable de provoquer des changements dont on n’a pas toujours conscience.
La question se pose : comment un étudiant peut-il consommer de l’alcool pendant les heures de cours ? Les enquêtes révèlent que des facteurs comme le chômage, la pauvreté, la misère sociale et l’incertitude de l’avenir, aggravent ce fléau chez les jeunes. La présence de l’alcool en sachet dans les milieux universitaires est un signal d’alarme. Les étudiants, qui représentent l’avenir du pays, doivent être conscients des dangers de cette consommation.
Il est temps que le ministère du Commerce et les services de sécurité appliquent strictement le décret d’interdiction de la vente d’alcool en sachet. C’est une génération entière qui est exposée à ce danger, et l’avenir du pays peut en pâtir.
Il n’est pas rare de voir des étudiants consommer un à deux sachets de 50 millilitres, ce qui équivaut à plus de cinq bouteilles de bière, pendant les pauses, une pratique surnommée « vaccination ».
Bien que les sachets portent des avertissements tels que, « ne pas vendre aux moins de 21 ans », « la consommation abusive d’alcool est nocive pour la santé », et « ne pas vendre à proximité des écoles et lieux de culte », ainsi qu’un décret interdisant leur vente, ces boissons sont malgré tout disponibles, parfois même devant les portes des écoles et universités. Baptisé « alcool des pauvres », ce type de boisson est moins cher qu’un pain et se vend mieux qu’un gâteau de 100 FCFA.
Les étudiants consommateurs se montrent très solidaires, offrant souvent un sachet à ceux qui n’ont pas de moyens pour s’en procurer. Cette popularité crée un marché lucratif pour les hommes d’affaires, qui en tirent d’énormes profits, au détriment de la santé des étudiants.
Malgré les campagnes de sensibilisation organisées chaque année, l’alcool en sachet continue d’être largement disponible et attire toujours plus de jeunes clients. Depuis toujours, l’alcool est perçu comme un compagnon potentiellement néfaste, capable de provoquer des changements dont on n’a pas toujours conscience.
La question se pose : comment un étudiant peut-il consommer de l’alcool pendant les heures de cours ? Les enquêtes révèlent que des facteurs comme le chômage, la pauvreté, la misère sociale et l’incertitude de l’avenir, aggravent ce fléau chez les jeunes. La présence de l’alcool en sachet dans les milieux universitaires est un signal d’alarme. Les étudiants, qui représentent l’avenir du pays, doivent être conscients des dangers de cette consommation.
Il est temps que le ministère du Commerce et les services de sécurité appliquent strictement le décret d’interdiction de la vente d’alcool en sachet. C’est une génération entière qui est exposée à ce danger, et l’avenir du pays peut en pâtir.