« En avril 2018, j'avais adhéré au Mouvement Patriotique du Salut (MPS) à la demande de feu maréchal du Tchad… Après sa mort subite le 20 avril 2021, les raisons ci-dessous mentionnées se sont produites et m'ont poussé à la démission.
Le parti est resté pendant un an et quelques mois sans président, et il semble actuellement dans l'incapacité de choisir son dirigeant.
Le parti n'accorde pas l’importance à ses cadres, sauf à ceux qui occupent des postes ministériels, et cela n'aide pas et n'aidera point la cohésion des cadres et des membres du parti, ce qui conduit à son incapacité à diriger la scène politique.
Le parti accorde plus d'importance à sa relation avec la France, pays colonial, au détriment de la souveraineté nationale du Tchad. », peut-on lire.
Enfin, l’ex-ambassadeur Al-Amin Al-Doudou Al-Khatiri estime que cela joue sur la popularité du parti. Et pour ces raisons et bien d'autres, il lui sera difficile de continuer d’être membre du Mouvement Patriotique du Salut.
Le parti est resté pendant un an et quelques mois sans président, et il semble actuellement dans l'incapacité de choisir son dirigeant.
Le parti n'accorde pas l’importance à ses cadres, sauf à ceux qui occupent des postes ministériels, et cela n'aide pas et n'aidera point la cohésion des cadres et des membres du parti, ce qui conduit à son incapacité à diriger la scène politique.
Le parti accorde plus d'importance à sa relation avec la France, pays colonial, au détriment de la souveraineté nationale du Tchad. », peut-on lire.
Enfin, l’ex-ambassadeur Al-Amin Al-Doudou Al-Khatiri estime que cela joue sur la popularité du parti. Et pour ces raisons et bien d'autres, il lui sera difficile de continuer d’être membre du Mouvement Patriotique du Salut.