Le conseiller national Doki Warou, ex-conseiller du leader du mouvement UFR Timan Erdimi, a réagi ce 16 février à la polémique suite à la diffusion d'un audio appelant à faire recours à Wagner -milice paramilitaire russe- pour renverser la transition au Tchad. Dans l'audio, Timan Erdimi -en exil au Qatar- s'exprime avec un conseiller du chef de l'État centrafricain.
"Je suis bien placé pour savoir puisque j'étais son conseiller politique (...) Surement c'est sa voix. Ce qu'il vient de dire est incendiaire pour notre pays. "Réconciliation ou pas, il y aura la guerre. Ça ma fait de la peine pour mon ancien collègue de lutte. On avait eu des divergences. Je suis réconforté aujourd'hui. Si je me retrouve ici, c'est justement à cause de ce genre de comportements", a affirmé Doki Warou.
L'ancien politico-militaire estime que les tchadiens doivent arrêter de penser à la guerre. Selon lui, le président de la République et le gouvernement ont donné des signaux forts pour la paix et le dialogue. "Ceux qui ne veulent pas la paix, qu'ils restent à côté, nous qui voulons faire la paix (...) Il faut arrêter avec l'esprit revanchard".
Doki Warou estime que l'amnistie a été déjà faite et que c'est désormais l'affaire du gouvernement, en réponse aux appels à annuler l'amnistie de Timan Erdimi. Il préconise qu'une délégation tchadienne composée des hautes personnalités se rende au Qatar et en Centrafrique pour éclaircir la situation.
"Je suis bien placé pour savoir puisque j'étais son conseiller politique (...) Surement c'est sa voix. Ce qu'il vient de dire est incendiaire pour notre pays. "Réconciliation ou pas, il y aura la guerre. Ça ma fait de la peine pour mon ancien collègue de lutte. On avait eu des divergences. Je suis réconforté aujourd'hui. Si je me retrouve ici, c'est justement à cause de ce genre de comportements", a affirmé Doki Warou.
L'ancien politico-militaire estime que les tchadiens doivent arrêter de penser à la guerre. Selon lui, le président de la République et le gouvernement ont donné des signaux forts pour la paix et le dialogue. "Ceux qui ne veulent pas la paix, qu'ils restent à côté, nous qui voulons faire la paix (...) Il faut arrêter avec l'esprit revanchard".
Doki Warou estime que l'amnistie a été déjà faite et que c'est désormais l'affaire du gouvernement, en réponse aux appels à annuler l'amnistie de Timan Erdimi. Il préconise qu'une délégation tchadienne composée des hautes personnalités se rende au Qatar et en Centrafrique pour éclaircir la situation.