La qualité de l'éducation au Tchad est intrinsèquement liée à l'état des infrastructures scolaires. Un déficit en salles de classe adéquates, en latrines fonctionnelles, et en points d'eau potable, comme le souligne l'Annuaire Statistique de l'Éducation 2023/2024, nuit gravement à la scolarité et aux performances des élèves.
Un déficit d’infrastructures scolaires alarmant : Environ la moitié des 55 019 salles de classe au Tchad sont faites de matériaux précaires, compromettant la sécurité et le confort des élèves.
Les provinces dotées de moins de 30 % de salles en dur présentent des taux de redoublement supérieurs à 20 %. A contrario, les écoles avec des infrastructures solides affichent de meilleurs taux de réussite. Il est crucial d'augmenter les investissements dans la construction d’écoles en dur, surtout dans les régions les plus défavorisées, et de lancer un programme d’amélioration des infrastructures adaptées aux conditions climatiques locales.
L’accès limité aux latrines et à l’eau potable : Seulement 37,1 % des écoles bénéficient de latrines fonctionnelles, un manque qui affecte particulièrement la scolarité des filles, dont le taux d'abandon est 1,8 fois plus élevé que celui des garçons dans les établissements dépourvus de ces installations.
Construire des latrines séparées pour les filles et garantir l'accès à l'eau potable dans toutes les écoles pour améliorer les conditions sanitaires et réduire les absences dues à des maladies liées à l'hygiène.
Une inégalité entre zones urbaines et rurales : Avec 66,3 % des infrastructures scolaires concentrées en zone urbaine, les zones rurales restent largement sous-équipées, affichant un ratio élèves/salle alarmant. Il est essentiel de développer un plan de construction ciblé pour les zones rurales et de mettre en place des écoles mobiles pour répondre aux besoins immédiats.
Les infrastructures scolaires sont fondamentales pour la réussite éducative. Un engagement ferme envers l'amélioration des conditions d'apprentissage et l'équité dans l'accès à l'éducation est nécessaire pour assurer un avenir prometteur pour tous les enfants tchadiens.
Un déficit d’infrastructures scolaires alarmant : Environ la moitié des 55 019 salles de classe au Tchad sont faites de matériaux précaires, compromettant la sécurité et le confort des élèves.
Les provinces dotées de moins de 30 % de salles en dur présentent des taux de redoublement supérieurs à 20 %. A contrario, les écoles avec des infrastructures solides affichent de meilleurs taux de réussite. Il est crucial d'augmenter les investissements dans la construction d’écoles en dur, surtout dans les régions les plus défavorisées, et de lancer un programme d’amélioration des infrastructures adaptées aux conditions climatiques locales.
L’accès limité aux latrines et à l’eau potable : Seulement 37,1 % des écoles bénéficient de latrines fonctionnelles, un manque qui affecte particulièrement la scolarité des filles, dont le taux d'abandon est 1,8 fois plus élevé que celui des garçons dans les établissements dépourvus de ces installations.
Construire des latrines séparées pour les filles et garantir l'accès à l'eau potable dans toutes les écoles pour améliorer les conditions sanitaires et réduire les absences dues à des maladies liées à l'hygiène.
Une inégalité entre zones urbaines et rurales : Avec 66,3 % des infrastructures scolaires concentrées en zone urbaine, les zones rurales restent largement sous-équipées, affichant un ratio élèves/salle alarmant. Il est essentiel de développer un plan de construction ciblé pour les zones rurales et de mettre en place des écoles mobiles pour répondre aux besoins immédiats.
Les infrastructures scolaires sont fondamentales pour la réussite éducative. Un engagement ferme envers l'amélioration des conditions d'apprentissage et l'équité dans l'accès à l'éducation est nécessaire pour assurer un avenir prometteur pour tous les enfants tchadiens.