Tchad : la CASAC dénonce les agitations d'hommes politiques et de la société civile. Illustration. © Alwihda Info
Le président de la Coalition des associations de la société civile pour l’action citoyenne (CASAC), Mahamoud Ali Seid a fait, ce dimanche, un point de presse relatif à la tenue des élections législatives. Il s'est dit outré par certaines positions adoptées par une partie de la classe politique par rapport au calendrier électoral législatif.
D’après lui, quotidiennement, nous constatons des réactions époustouflantes voire abracadabrantes, frisant parfois l’indécence, par rapport aux diverses opinions de certains membres de la classe politique tchadienne qui rejettent l’organisation d’élections dans notre pays.
Selon lui, "ces acteurs politiques, et ceux de la société civile bien évidemment, qui surfent sur les pesanteurs de haines et de divisions, doivent se rendre à l’évidence que le peuple tchadien est désormais mûr, et à ce titre, il ne permettra guère à un quelconque quidam de venir véhiculer les messages de déstabilisations, teintés de germes nauséeuses, qui sentent indiscutablement la mauvaise foi patriotique et l’incivisme."
La CASAC s'en prend aux Transformateurs et au M21
« Nous pensons au niveau de la CASAC que le Président de la République est la synthèse de la nation ; quand il éternue, c’est toute la société qui s’enrhume. Cependant, nous n’accepterons pas que des petits esprits égarés dans le train-train froid de l’exil, et en mal d’existence, puissent proférer à son encontre des propos abjects, et qui plus est, irrespectueux, dans le seul but d’écorcher son image, et en filigrane celle de notre pays », martèle le président de la CASAC, Mahamoud Ali Seid.
Par ailleurs, il indique que "des nouveaux et embryonnaires groupuscules politiques, ayant pour seul territoire et vivier électoral les claviers et la toile, viennent de voir le jour". D’après lui, "ces derniers arrivistes de la classe politique tchadienne, font de la politique par effraction".
« Leurs collaborations avec les officines et autres laboratoires extérieurs sont des secrets de polichinelle. Ils pensent naïvement gruger l’opinion publique par des phraséologies politiques prêt-à-porter, digne des grands films hollywoodiens ».
La CASAC demande à ces "vendeurs d’illusions, de redescendre sur terre, car la gestion d’un pays ne se fait pas à l’image d’un conte de fée, mais plutôt avec empathie et délicatesse. D’autres agitateurs immatures, regroupés dernièrement, sous une appellation alphanumérique, avaient fait des demandes utopistes, propres aux néandertaliens, pour demander la démission du chef de l’Etat."
Mahmoud Ali Seid demande à la population tchadienne "de ne point céder aux allégations creuses, mensongères et dénuées de tout soubassement rationnel, de ces nouveaux parangons politiques, aux cols blancs qui chercheraient désespérément à se faire de la publicité sur l’autel de la naïveté du subconscient collectif national."
"Les tintamarres au sein des réseaux sociaux"
« Les tintamarres cybernétiques produits par les activistes au sein des réseaux sociaux n’absoudront jamais les avancées politiques majeures de notre pays. Elle ne doit pas suivre les crachats insensés de ces activistes qui ont fait des réseaux sociaux, leurs tribunes de propagandes par excellence. Les réseaux sociaux doivent être utilisés avec tact et lucidité, car l’usage irrationnel de ces derniers, ne conduit qu’aux blocages inutiles, souhaités par les ennemis de notre nation », explique t-il.
La CASAC "soutient les actions posées par les pouvoirs publics, notamment l’état d’urgence, ainsi que la lutte contre l’usage des armes de guerre par les civils dans les différends qui les opposent". Elle appelle "toute la population tchadienne à être vigilante, et à ne point donner l’occasion aux différents clochards de la vie politique."
D’après lui, quotidiennement, nous constatons des réactions époustouflantes voire abracadabrantes, frisant parfois l’indécence, par rapport aux diverses opinions de certains membres de la classe politique tchadienne qui rejettent l’organisation d’élections dans notre pays.
Selon lui, "ces acteurs politiques, et ceux de la société civile bien évidemment, qui surfent sur les pesanteurs de haines et de divisions, doivent se rendre à l’évidence que le peuple tchadien est désormais mûr, et à ce titre, il ne permettra guère à un quelconque quidam de venir véhiculer les messages de déstabilisations, teintés de germes nauséeuses, qui sentent indiscutablement la mauvaise foi patriotique et l’incivisme."
La CASAC s'en prend aux Transformateurs et au M21
« Nous pensons au niveau de la CASAC que le Président de la République est la synthèse de la nation ; quand il éternue, c’est toute la société qui s’enrhume. Cependant, nous n’accepterons pas que des petits esprits égarés dans le train-train froid de l’exil, et en mal d’existence, puissent proférer à son encontre des propos abjects, et qui plus est, irrespectueux, dans le seul but d’écorcher son image, et en filigrane celle de notre pays », martèle le président de la CASAC, Mahamoud Ali Seid.
Par ailleurs, il indique que "des nouveaux et embryonnaires groupuscules politiques, ayant pour seul territoire et vivier électoral les claviers et la toile, viennent de voir le jour". D’après lui, "ces derniers arrivistes de la classe politique tchadienne, font de la politique par effraction".
« Leurs collaborations avec les officines et autres laboratoires extérieurs sont des secrets de polichinelle. Ils pensent naïvement gruger l’opinion publique par des phraséologies politiques prêt-à-porter, digne des grands films hollywoodiens ».
La CASAC demande à ces "vendeurs d’illusions, de redescendre sur terre, car la gestion d’un pays ne se fait pas à l’image d’un conte de fée, mais plutôt avec empathie et délicatesse. D’autres agitateurs immatures, regroupés dernièrement, sous une appellation alphanumérique, avaient fait des demandes utopistes, propres aux néandertaliens, pour demander la démission du chef de l’Etat."
Mahmoud Ali Seid demande à la population tchadienne "de ne point céder aux allégations creuses, mensongères et dénuées de tout soubassement rationnel, de ces nouveaux parangons politiques, aux cols blancs qui chercheraient désespérément à se faire de la publicité sur l’autel de la naïveté du subconscient collectif national."
"Les tintamarres au sein des réseaux sociaux"
« Les tintamarres cybernétiques produits par les activistes au sein des réseaux sociaux n’absoudront jamais les avancées politiques majeures de notre pays. Elle ne doit pas suivre les crachats insensés de ces activistes qui ont fait des réseaux sociaux, leurs tribunes de propagandes par excellence. Les réseaux sociaux doivent être utilisés avec tact et lucidité, car l’usage irrationnel de ces derniers, ne conduit qu’aux blocages inutiles, souhaités par les ennemis de notre nation », explique t-il.
La CASAC "soutient les actions posées par les pouvoirs publics, notamment l’état d’urgence, ainsi que la lutte contre l’usage des armes de guerre par les civils dans les différends qui les opposent". Elle appelle "toute la population tchadienne à être vigilante, et à ne point donner l’occasion aux différents clochards de la vie politique."