Le président de la Coalition des associations de la société civile pour l'action citoyenne (CASAC), Mahmoud Ali Seïd. © Ali Moussa/Alwihda Info
Selon Mahmoud Ali Seïd, le pays a été "menacé par la déprime collective" et le "péril républicain" suite à l'attaque rebelle ayant conduit à la mort du président Idriss Deby.
Pour le leader de la CASAC, les tchadiens doivent se "réjouir" de la transition militaire pour "accompagner la marche irréversible qui est en train d'être mise sur pied".
"Notre pays était menacé de partout. Des bandes armées écument le Sahel. D'autres fous de Dieu ambitionnent de réduire le monde à l'âge de la pierre taillée, ils ne sont pas loin. Boko Haram est à deux heures de N'Djamena", estime Mahmoud Ali Seïd.
"Ne cédons pas aux vendeurs d'illusions. Il y a aujourd'hui une jeune génération de politiciens, fertiles en propos séducteurs, des démagogues (...) qui cherchent à surfer sur la misère structurelle de nos compatriotes (...) en les appelant à sortir dans la rue, à se désunir, à casser et détruire", poursuit Mahmoud Ali Seïd. Il préconise d'éclairer les citoyens "contre l'endoctrinement".
Pour le leader de la CASAC, les tchadiens doivent se "réjouir" de la transition militaire pour "accompagner la marche irréversible qui est en train d'être mise sur pied".
"Notre pays était menacé de partout. Des bandes armées écument le Sahel. D'autres fous de Dieu ambitionnent de réduire le monde à l'âge de la pierre taillée, ils ne sont pas loin. Boko Haram est à deux heures de N'Djamena", estime Mahmoud Ali Seïd.
"Ne cédons pas aux vendeurs d'illusions. Il y a aujourd'hui une jeune génération de politiciens, fertiles en propos séducteurs, des démagogues (...) qui cherchent à surfer sur la misère structurelle de nos compatriotes (...) en les appelant à sortir dans la rue, à se désunir, à casser et détruire", poursuit Mahmoud Ali Seïd. Il préconise d'éclairer les citoyens "contre l'endoctrinement".