La Convention Tchadienne de Défense des Droits de l’Homme (CTDDH) a condamné lundi avec la dernière énergie le conflit intercommunautaire sanglant qui a eu lieu les 7 et 8 août 2021 dans le village Kharadja, département de Moyto dans la province de Hadjer Lamis.
“Une fois de plus, des familles tchadiennes sont endeuillées par un conflit intercommunautaire qui a fait 23 morts et une vingtaine de blessés et dont le déroulement met clairement en évidence l’implication d’une haute autorité”, s’indigne Ibrahim Mahmat Ibrahim, secrétaire général adjoint de la CTDDH.
“La preuve est faite par l’arrestation de deux membres de forces de l’ordre reconnus comme acteur dans le conflit”, indique-t-il.
La CTDDH dénonce une fois de plus le laxisme complice du gouvernement et des autorités locales alors que le conflit était sous-jacent. Elle rend pour responsable le gouvernement de ce bain de sang inadmissible.
“Une fois de plus, des familles tchadiennes sont endeuillées par un conflit intercommunautaire qui a fait 23 morts et une vingtaine de blessés et dont le déroulement met clairement en évidence l’implication d’une haute autorité”, s’indigne Ibrahim Mahmat Ibrahim, secrétaire général adjoint de la CTDDH.
“La preuve est faite par l’arrestation de deux membres de forces de l’ordre reconnus comme acteur dans le conflit”, indique-t-il.
La CTDDH dénonce une fois de plus le laxisme complice du gouvernement et des autorités locales alors que le conflit était sous-jacent. Elle rend pour responsable le gouvernement de ce bain de sang inadmissible.