Des agents de la Garde nomade à N'Djamena lors d'un défilé. Illustration © PR
La Garde nationale et nomade du Tchad (GNNT) est désormais sous tutelle du ministère de l'Administration du territoire et des Collectivités territoriales. Le ministre Mahamat Ismael Chaibo s'est rendu mardi au sein de l'institution pour une prise de contact.
En juin 2019, la GNNT avait été rattaché au ministère de la Sécurité publique par décret (hors période de guerre). Depuis le décret n° 1573 du 15 juillet 2020, le chef de l'État a décidé de modifier le rattachement de la GNNT.
Ce rattachement "renforce dans toutes les dimensions de l'autorité de l'État, aussi bien au niveau central qu'au niveau du commandement territorial", a indiqué le ministre Mahamat Ismael Chaibo qui s'est félicité du dynamisme des hommes et femmes de la GNNT.
Il a exhorté à plus de collaboration et a appelé au travail résolu pour la réussite des missions. "Tous les éléments placés sous vos ordres doivent être actifs à tout moment", a rappelé le ministre.
Le chef d'état-major de la GNNT, le chef de brigade Haliki Ahmat Haliki, a expliqué que la réorganisation progressive de l'institution a abouti à 17 groupements pour "répondre aux soucis de servir au plus proche les citoyens".
Parmi les défis et enjeux de la GNNT figure le contrôle du territoire national dans son ensemble, la proximité de la population même en zone périphérique -impliquant des moyens conséquents-, l'adaptation des moyens aux évolutions des menaces terrestres, fluviales et aériennes, la question des textes obsolètes, le faible effectif et le manque de personnel qualifié.
La Garde nomade compte aujourd'hui 8000 agents. Elle sollicite un renforcement de plus de 3500 agents pour mieux répondre au contexte actuel des conflits post-étatiques à dominance asymétrique.
En juin 2019, la GNNT avait été rattaché au ministère de la Sécurité publique par décret (hors période de guerre). Depuis le décret n° 1573 du 15 juillet 2020, le chef de l'État a décidé de modifier le rattachement de la GNNT.
Ce rattachement "renforce dans toutes les dimensions de l'autorité de l'État, aussi bien au niveau central qu'au niveau du commandement territorial", a indiqué le ministre Mahamat Ismael Chaibo qui s'est félicité du dynamisme des hommes et femmes de la GNNT.
Il a exhorté à plus de collaboration et a appelé au travail résolu pour la réussite des missions. "Tous les éléments placés sous vos ordres doivent être actifs à tout moment", a rappelé le ministre.
Le chef d'état-major de la GNNT, le chef de brigade Haliki Ahmat Haliki, a expliqué que la réorganisation progressive de l'institution a abouti à 17 groupements pour "répondre aux soucis de servir au plus proche les citoyens".
Parmi les défis et enjeux de la GNNT figure le contrôle du territoire national dans son ensemble, la proximité de la population même en zone périphérique -impliquant des moyens conséquents-, l'adaptation des moyens aux évolutions des menaces terrestres, fluviales et aériennes, la question des textes obsolètes, le faible effectif et le manque de personnel qualifié.
La Garde nomade compte aujourd'hui 8000 agents. Elle sollicite un renforcement de plus de 3500 agents pour mieux répondre au contexte actuel des conflits post-étatiques à dominance asymétrique.