Le secrétaire général de la présidence de la République a lancé officiellement la deuxième journée des travaux des directeurs et secrétaires généraux de la 11ème réunion du comité de gestion de l'unité régionale de fusion de renseignement (RIFU), ce mardi 30 janvier 2024 à N'Djamena.
Face à la mutation du phénomène terroriste, les secrétaires et directeurs généraux des pays membres de la RIFU, poursuivent d'analyser potentiellement la vulnérabilité structurelle endémique et endogène de la situation des activités économiques qui a constitué des nouveaux éléments de la conflictualité, faisant de revivre les groupes terroristes.
Dr Mahamat Borgo Hassan, le représentant spécial du président de la Transition, par ailleurs secrétaire général de la présidence, a invité les stratèges de faire face à cette économie criminelle qui existe aussi entre les sphères légales et illégales, d’élaborer des stratégies solides, fondées sur des données fiables issues des terrains.
Ensuite, le secrétaire général de la présidence a indiqué que la cartographie des activités criminelles montre qu'elles s'implantent dans le poste d'instabilité et de la marginalisation, allant des centres urbains, aux zones frontalières, et se relient en elles.
Face à ce changement programmatique, et au regard de la vulnérabilité structurelle endémique et endogène du service des membres de la RIFU, le ministre en charge de l'Agence nationale d’État, Ahmat Kogri, a indiqué au RIFU de faire une analyse potentielle des situations.
Pour Jean Pierre Robbins, président en exercice du comité de gestion de la RIFU, face à la prolifération du terrorisme à vocation criminelle, l'idée de fusion du renseignement doit être le premier levier d'engagement aux actions des pays respectifs.
Face à la mutation du phénomène terroriste, les secrétaires et directeurs généraux des pays membres de la RIFU, poursuivent d'analyser potentiellement la vulnérabilité structurelle endémique et endogène de la situation des activités économiques qui a constitué des nouveaux éléments de la conflictualité, faisant de revivre les groupes terroristes.
Dr Mahamat Borgo Hassan, le représentant spécial du président de la Transition, par ailleurs secrétaire général de la présidence, a invité les stratèges de faire face à cette économie criminelle qui existe aussi entre les sphères légales et illégales, d’élaborer des stratégies solides, fondées sur des données fiables issues des terrains.
Ensuite, le secrétaire général de la présidence a indiqué que la cartographie des activités criminelles montre qu'elles s'implantent dans le poste d'instabilité et de la marginalisation, allant des centres urbains, aux zones frontalières, et se relient en elles.
Face à ce changement programmatique, et au regard de la vulnérabilité structurelle endémique et endogène du service des membres de la RIFU, le ministre en charge de l'Agence nationale d’État, Ahmat Kogri, a indiqué au RIFU de faire une analyse potentielle des situations.
Pour Jean Pierre Robbins, président en exercice du comité de gestion de la RIFU, face à la prolifération du terrorisme à vocation criminelle, l'idée de fusion du renseignement doit être le premier levier d'engagement aux actions des pays respectifs.