L'accès à Internet est restreint au Tchad. Dans un communiqué, l'organisation Internet sans Frontières a condamné "vigoureusement le blocage du réseau WhatsApp intervenue au Tchad le 22 juillet 2020, alors que la crise sanitaire dû à la pandémie du Coronavirus continue d’affecter les populations du pays."
"Les sources d’Internet Sans Frontières au Tchad, et les mesures techniques effectuées par l’organisation Netbloks confirment le Blocage de l’application de messagerie WhatsApp. Ce nouveau cas de censure, dans un contexte de grande fragilité et menace sanitaire, est une double peine contre les citoyens qui utilisent WhatsApp pour communiquer, sensibiliser sur les gestes barrière contre la COVID-19, et garder le lien avec leurs proches", selon l'organisation.
“Cette nouvelle restriction des réseaux sociaux sans aucune explication de la part des autorités tchadiennes et des compagnies de téléphonie mobile est un nouveau mépris envers les citoyens et consommateurs Tchadiens. Cette violation de la liberté d’expression et de communication doit toujours être le dernier recours”, a déclaré Blaise Noubarasse, représentant d’Internet Sans Frontières au Tchad.
"Qu’elles que soient les inquiétudes liées à l’usage du réseau WhatsApp, la censure n'est jamais la bonne solution. Les autorités tchadiennes devraient plutôt mener des campagnes de sensibilisation et d’information sur les opportunités et défis de cet outil, aux côtés de la société civile et des acteurs privés", a ajouté Abdelkerim Yacoub Koundougoumi, directeur Afrique d'Internet sans Frontières.
Interne sans Frontières appelle le gouvernement tchadien à rétablir l'accès au réseau WhatsApp. "Nous estimons que le blocage des réseaux sociaux n’est pas une solution, quelque soit le problème auquel les autorités sont confrontés", précise l'organisation.
"Les sources d’Internet Sans Frontières au Tchad, et les mesures techniques effectuées par l’organisation Netbloks confirment le Blocage de l’application de messagerie WhatsApp. Ce nouveau cas de censure, dans un contexte de grande fragilité et menace sanitaire, est une double peine contre les citoyens qui utilisent WhatsApp pour communiquer, sensibiliser sur les gestes barrière contre la COVID-19, et garder le lien avec leurs proches", selon l'organisation.
“Cette nouvelle restriction des réseaux sociaux sans aucune explication de la part des autorités tchadiennes et des compagnies de téléphonie mobile est un nouveau mépris envers les citoyens et consommateurs Tchadiens. Cette violation de la liberté d’expression et de communication doit toujours être le dernier recours”, a déclaré Blaise Noubarasse, représentant d’Internet Sans Frontières au Tchad.
"Qu’elles que soient les inquiétudes liées à l’usage du réseau WhatsApp, la censure n'est jamais la bonne solution. Les autorités tchadiennes devraient plutôt mener des campagnes de sensibilisation et d’information sur les opportunités et défis de cet outil, aux côtés de la société civile et des acteurs privés", a ajouté Abdelkerim Yacoub Koundougoumi, directeur Afrique d'Internet sans Frontières.
Interne sans Frontières appelle le gouvernement tchadien à rétablir l'accès au réseau WhatsApp. "Nous estimons que le blocage des réseaux sociaux n’est pas une solution, quelque soit le problème auquel les autorités sont confrontés", précise l'organisation.