Dans les débits de boissons, les marchés, les ciné-clubs, les carrefours comme en pleine route, le fumeur allume sa cigarette sans se soucier de son voisinage. Parfois, un seul "samouni" suffit, et bonjour la fumée. Et pourtant, la loi tchadienne est ferme sur la consommation de la cigarette dans les lieux publics. Déjà deux ans que la mairie de Ndjamena a interdit de fumer dans les lieux publics. Malheureusement, cette loi reste un vieux souvenir pour les fumeurs. Plus encore, la loi du 10 juin 2010 qui a pour objectif de réglementer la consommation de cigarette est bien conservée au tiroir. En attendant, ce produit dangereux pour la santé est abondamment consommé aussi bien dans des bars, comme des ciné-clubs regroupant plusieurs jeunes.
Issa témoigne : « je suis devenu fumeur à forcer d’être exposé à la fumée du tabac. Cette consommation en lieu public met à l’aise certaines personnes ». Pour Haroun, « ça me donne les maux tête ». Les fumeurs en public le font parfois pour attirer le regard, explique Japhet. Malgré les avertissements sanitaires présentant les images de cancer de la bouche et du poumon, la consommation de la cigarette poursuit son chemin.
Selon l’OMS, le tabac demeure la première cause de mortalité aux multiples conséquences fâcheuses. Si les lois anti-tabac du Tchad restent beau à voir, et leur application désespérément « prophétique », il faut craindre que les dégâts pour la santé ne soient énormes au sein de la population. Un homme averti en vaut deux, dit-on. Il est donc de la responsabilité de la mairie d’appliquer la loi en vigueur. Les Association de défense des droits des consommateurs doivent également faire face à ce produit dangereux pour la santé, et qui tue à petit feu.
Issa témoigne : « je suis devenu fumeur à forcer d’être exposé à la fumée du tabac. Cette consommation en lieu public met à l’aise certaines personnes ». Pour Haroun, « ça me donne les maux tête ». Les fumeurs en public le font parfois pour attirer le regard, explique Japhet. Malgré les avertissements sanitaires présentant les images de cancer de la bouche et du poumon, la consommation de la cigarette poursuit son chemin.
Selon l’OMS, le tabac demeure la première cause de mortalité aux multiples conséquences fâcheuses. Si les lois anti-tabac du Tchad restent beau à voir, et leur application désespérément « prophétique », il faut craindre que les dégâts pour la santé ne soient énormes au sein de la population. Un homme averti en vaut deux, dit-on. Il est donc de la responsabilité de la mairie d’appliquer la loi en vigueur. Les Association de défense des droits des consommateurs doivent également faire face à ce produit dangereux pour la santé, et qui tue à petit feu.