Des nattes, lits, un groupe électrogène et plusieurs autres équipements ont été dégagés des lieux par le propriétaire du bâtiment abritant le Centre Dakouna qui accueille et assure la réinsertion des enfants en situation sociale difficile dans plusieurs familles. Pourtant, cette structure redonne du sourire à ces enfants par la danse, au moins deux fois dans la semaine matin ou le soir, pour des séances de répétition à l'espace public Festafrica, sis dans la commune du sixième arrondissement de N’Djamena.
Actuellement, les encadreurs et accompagnateurs font face à un sérieux problème financier. L’un des formateurs, Alève Ndavogo Jude, rencontré, exprime son indignation : « comme vous avez constaté, le bailleur a mis nos effets dehors, il réclame dix mois d'arriérés de loyer. Nous traversons de durs moments, parce que nous fonctionnons avec les dons que nous recevons, et quelques aides des personnes de bonne volonté. Nous avons procédé à l’inscription et la réinscription de quelques enfants, et comme c'est la rentrée scolaire, il faudrait que ces derniers viennent à l'école », a indiqué NdavogoJude.
Selon toujours la même source, une partie de ces enfants sont logés dans une auberge du quartier, une autre partie est toujours restée devant le local. Par le passé, le Centre Dakouna Espoir hébergeait 65 jeunes, dont une trentaine ont repris le chemin de l'école. 45 jeunes ont un désir de suivre la formation aux petits métiers, à travers le ministère de la Formation professionnelle et de petits métiers.
En attendant que l'équipe de l'Association artistique Tchado-star continue à chercher un endroit pour reloger les jeunes pensionnaires, aucun bailleur ne veut céder sa maison au Centre Dakouna Espoir qui signifie en arabe locale, « Nous voici espoir ». A cet effet, un cri d'alarme est lancé aux personnes de bonne volonté, aux organisations non gouvernementales (ONG), et différentes associations, pour porter secours au Centre, en lui permettant de surmonter ce moment sombre qu’il traverse.
Actuellement, les encadreurs et accompagnateurs font face à un sérieux problème financier. L’un des formateurs, Alève Ndavogo Jude, rencontré, exprime son indignation : « comme vous avez constaté, le bailleur a mis nos effets dehors, il réclame dix mois d'arriérés de loyer. Nous traversons de durs moments, parce que nous fonctionnons avec les dons que nous recevons, et quelques aides des personnes de bonne volonté. Nous avons procédé à l’inscription et la réinscription de quelques enfants, et comme c'est la rentrée scolaire, il faudrait que ces derniers viennent à l'école », a indiqué NdavogoJude.
Selon toujours la même source, une partie de ces enfants sont logés dans une auberge du quartier, une autre partie est toujours restée devant le local. Par le passé, le Centre Dakouna Espoir hébergeait 65 jeunes, dont une trentaine ont repris le chemin de l'école. 45 jeunes ont un désir de suivre la formation aux petits métiers, à travers le ministère de la Formation professionnelle et de petits métiers.
En attendant que l'équipe de l'Association artistique Tchado-star continue à chercher un endroit pour reloger les jeunes pensionnaires, aucun bailleur ne veut céder sa maison au Centre Dakouna Espoir qui signifie en arabe locale, « Nous voici espoir ». A cet effet, un cri d'alarme est lancé aux personnes de bonne volonté, aux organisations non gouvernementales (ONG), et différentes associations, pour porter secours au Centre, en lui permettant de surmonter ce moment sombre qu’il traverse.