La garde républicaine a multiplié les bavures devant le Palais présidentiel au courant de la semaine passée. Elle s'est servie d'armes de guerre pour tirer sans discernement sur des paisibles passants, sans qu'elle ne soit vraiment inquiétée de la gravité des actes posés.
Les éléments de la garde républicaine ont tiré à bout portant au début de la semaine passée sur un motocycliste empruntant l'axe de la présidence de la République pour rentrer chez lui. Il s'agit de Abbas Mahamat Fodoul, issu d'une famille d'opérateurs économiques tchadiens bien connue à N'Djamena.
Abbas Mahamat Fodoul a essuyé des tirs effectués par des éléments de la garde républicaine en faction devant la porte de l'entrée principale du Palais présidentiel. Il s'en est tiré avec une jambe brisée. La victime a été ensuite admise à l'hôpital pour y subir des traitements appropriés.
Les auteurs des tirs n'ont pas été interpellés, ce qui a encouragé d'autres éléments de la garde républicaine à récidiver en effectuant des tir mortels visant un cadre de la Caisse Nationale des prévoyance sociale (CNPS), Rozi Barkai. Dimanche matin, son corps a été criblé de 8 balles, tandis que 33 impacts de balles ont été comptabilisés sur son véhicule Toyota Camry. Le chef de la garde républicaine s'est rendu sur les lieux peu après l'incident pour demander des explications.
Les éléments de la garde républicaine ont tiré à bout portant au début de la semaine passée sur un motocycliste empruntant l'axe de la présidence de la République pour rentrer chez lui. Il s'agit de Abbas Mahamat Fodoul, issu d'une famille d'opérateurs économiques tchadiens bien connue à N'Djamena.
Abbas Mahamat Fodoul a essuyé des tirs effectués par des éléments de la garde républicaine en faction devant la porte de l'entrée principale du Palais présidentiel. Il s'en est tiré avec une jambe brisée. La victime a été ensuite admise à l'hôpital pour y subir des traitements appropriés.
Les auteurs des tirs n'ont pas été interpellés, ce qui a encouragé d'autres éléments de la garde républicaine à récidiver en effectuant des tir mortels visant un cadre de la Caisse Nationale des prévoyance sociale (CNPS), Rozi Barkai. Dimanche matin, son corps a été criblé de 8 balles, tandis que 33 impacts de balles ont été comptabilisés sur son véhicule Toyota Camry. Le chef de la garde républicaine s'est rendu sur les lieux peu après l'incident pour demander des explications.