À Ndjamena, les devantures des cliniques sont pleines de voitures et motos. La grève des travailleurs du secteur public entraîne une ruée vers le privé.
Dans la salle d'accueil d'une clinique du 6ème arrondissement de N'Djamena, ce sont des enfants, femmes et hommes qui se bousculent pour le paiement des factures des examens. D'autres patients attendent sur des chaises, devant un écran géant, suivant l'actualité sur les chaînes de télévision.
Au service des urgences, le constat est le même. Des patients arrivent d'autres horizons et sont automatiquement accueillis par le personnel soignant.
Au sein d'une autre clinique, un agent de santé confirme l'afflux inhabituel. Mais le coût des cliniques n'est pas à la bourse de toute la population. "Ces derniers temps, nous accueillons beaucoup plus de patients", constate un jeune médecin.
Cette grève illimitée est accueillie avec gravité au sein de la population car le manque de moyens financiers empêche de se soigner dans des structures sanitaires privées.
Les yeux sont rivés vers les autorités et les syndicats dans l'espoir d'un terrain d'entente pour calmer l'hémorragie.
Dans la salle d'accueil d'une clinique du 6ème arrondissement de N'Djamena, ce sont des enfants, femmes et hommes qui se bousculent pour le paiement des factures des examens. D'autres patients attendent sur des chaises, devant un écran géant, suivant l'actualité sur les chaînes de télévision.
Au service des urgences, le constat est le même. Des patients arrivent d'autres horizons et sont automatiquement accueillis par le personnel soignant.
Au sein d'une autre clinique, un agent de santé confirme l'afflux inhabituel. Mais le coût des cliniques n'est pas à la bourse de toute la population. "Ces derniers temps, nous accueillons beaucoup plus de patients", constate un jeune médecin.
Cette grève illimitée est accueillie avec gravité au sein de la population car le manque de moyens financiers empêche de se soigner dans des structures sanitaires privées.
Les yeux sont rivés vers les autorités et les syndicats dans l'espoir d'un terrain d'entente pour calmer l'hémorragie.