L'association évoque des difficultés d'ordre infrastructurel (manque des bâtiments, absence des écoles dans plusieurs villages, absence de lycée dans le département du Nord-Kanem, de Djara et de Rig-Rig, l'inexistence des bibliothèques dans certains établissements scolaires, les établissements scolaires non clôturés et l'absence d'eau potable dans les établissements).
Plusieurs difficultés pédagogiques et en ressources humaines sont relevées : fuite de poste de responsabilité de certains enseignants, insuffisance des enseignants dans le Kanem, manque des enseignants de qualité et le manque des manuels pédagogiques.
L'association appelle à construire des bibliothèques, renforcer les écoles en fournitures scolaires et meubles, intégrer les enseignants formés à l'École normale des instituteurs de Mao au lieu d'augmenter le taux de chômage, construire des châteaux d'eau dans les différents établissements scolaires du Kanem, affecter des enseignants et mettre en place un système de suivi des enseignants.
Plusieurs difficultés pédagogiques et en ressources humaines sont relevées : fuite de poste de responsabilité de certains enseignants, insuffisance des enseignants dans le Kanem, manque des enseignants de qualité et le manque des manuels pédagogiques.
L'association appelle à construire des bibliothèques, renforcer les écoles en fournitures scolaires et meubles, intégrer les enseignants formés à l'École normale des instituteurs de Mao au lieu d'augmenter le taux de chômage, construire des châteaux d'eau dans les différents établissements scolaires du Kanem, affecter des enseignants et mettre en place un système de suivi des enseignants.