"Rien à craindre du fédéralisme", titre à sa Une Abba Garde. "La tendance fédéraliste prend de plus en plus corps au sein de l'opinion tchadienne. Ce n'est plus une fiction ni un débat en l'air mais une aspiration profonde d'un peuple exaspéré par l'injustice, la confiscation de ses richesses, l'exclusion, le viol moral, l'oppression et l'humiliation", analyse Abba Garde. Pour ce journal, l'échec de l'État unitaire, pendant plus de 60 ans d'existence, en tant que République, caractérisé par la gestion patrimoniale de l'État, la domination et le pillage des ressources nationale, incite les tchadiens à un changement de cap.
"Le BET doit-il craindre un État fédéral ?" ; à ce propos, Moussa Pascal Sougui, dans les colonnes du journal Le Citoyen, résume qu'aucune région, moins encore le BET, ne va pas donc souffrir plus qu'actuellement dans un Tchad fédéral ou fortement décentralisé même si le fédéralisme n'est pas la panacée universelle pouvant résoudre le problème de mauvaise gouvernance qui s'est accumulé depuis plusieurs années".
"La conduite de la transition politique, le CMT joue au banabana", constate à sa Une Le Citoyen ."Le Conseil militaire de transition (CMT) au pouvoir après la mort d'Idriss Déby Itno avait suscité bien des espoirs. Mais très vite, en imposant sa marque, il fait déchanter les tchadiens qui vivent au quotidien des moments d'incertitudes sécuritaires, sociales, politiques, organisationnelles", ajoute-t-il.
"L'État en déliquescence", trouve N'Djamena Hebdo. Léditorialiste de l'hebdomadaire de s'interroger, quel avenir pour la République monarchique ? Le 28 novembre 2021, un évènement de taille, d'importance nationale, était encore passé sous silence. L'anniversaire de la proclamation de la République du Tchad, décidée le 28 novembre 1958, a été une nouvelle fois occulté. Il y a bien longtemps que cette journée pleine de symbole de l'histoire du Tchad a été réduite à une journée ordinaire par le feu Maréchal Idriss Déby Itno. Le Marchal ne l'avait pas seulement banalisée, mais a fini par l'enterrer complètement, préférant célébrer, en lieu et place de la République, "une grande prière œcuménique pour la paix". Une journée qu'il avait créé de toutes les pièces, avec les bénédictions des ledears des confessions musulmans et protestante", constate N'Djamena Hebdo.
Dans les colonnes de ce même journal, par rapport à ce sujet, Mahamat Moustapha Masri invite le CMT à s'engager sur la voie du vrai et profonde changement. "Ne ratons pas l'occasion de sortir notre pays par le haut", dit-il. "À ceux qui pensent que le statut quo actuel doit continuer, même au-delà de la transition, parce que c'est le seul moyen qui garantirait la sécurité et la paix, somme tout relatives, dans notre pays, je doute que ça soit ce que veulent leurs autres compatriotes. La recherche et le maintien de la sécurité et de la paix ne répondent donc que partiellement aux attentes de tous les tchadiens et ne suffisent pas à les réconcilier entre eux, à instaurer la cohésion nationale au sein de nos populations plurielles, à amorcer le véritable décollage économique du pays", analyse-t-il.
"Dans le viseur du CMT", titre à sa Une Le Visionnaire. "À la suite de la dénonciation du ministère de la Sécurité publique contre Max Loalngar et Me Koudé Mabainaisem au barreau des avocats, via le procureur général de la Cour en octobre dernier, le conseil disciplinaire de l'ordre, après débats contradictoires, a rendu sa décision, en rappelant à l'ordre ses confrères. Motif : manquement à la délicatesse. Les raisons seraient bien ailleurs", estime Le Visionnaire.
"Deux avocats rappelés à l'ordre", ajoute N'Djamena Hebdo. "Dans une décision n°001/COA/ 2021 du 13 novembre 2021, le Conseil de l'ordre des avocats du Tchad, au cours d'une audience disciplinaire, a rappelé à l'ordre les avocats Me Max Loalngar et Me Koudé Mabainaisem". À ce sujet, Me Max Loalngar indique que la plainte déposée par la police est non seulement une offense à leur personne mais une honte et une insulte a l'égard de l'intelligence policier.
"La fête du 1er décembre 2021, sous le signe du deuil, du recueillement et de la prière pour Déby", annonce l'Observateur. "Un premier décembre sans Déby", ajoute Le Visionnaire. Ce premier décembre 2021, le Tchad commémore la première journée de la liberté et de la démocratie sans Idriss Déby Itno. Une journée qui devrait être placée sous le signe du deuil par le MPS pour la mémoire de son leader incontesté qui, à la faveur d'un coup d'état militaire, un 1er décembre 1990, a mis fin au règne du feu Hisseine Habré".
Le 1er décembre, la fête de la commémoration de la journée de la démocratie et de liberté. C'est quand l'histoire se construit au singulier. Ils étaient plusieurs cadres militaires et civils à se battre contre le dictateur Hisseine Habré. Mais à la fin, un seul tire le drap à lui. Pour sa famille. Bonne fête aux oubliés", affirme Avocksoumna Atchenemou dans les colonnes de Le Citoyen.
La gestion du football tchadien, "la FIFA désavoue l'équipe Moctar", annonce à sa Une l'Observateur. "La FIFA a mis en place un comité de normalisation du football au Tchad. Une décision prise, à la suite de la décision conjointe FIFA-CAF en octobre dernier. Cette décision met fin à la gouvernance de l'actuelle équipe de la FTFA dirigée par Moctar Mahamoud Hamid. "Comité de normalisation à la FTFA : un désaveu de l'agitation de Moctar et comparses", ajoute Le Pays. "Près d'une décennie de gestion" désastreuse "à la tête de la FTFA, Moctar Mahamoud Hamid et ses complices sont désavoués par la FIFA qui annonce la mise sur pied d'un comité de normalisation", conclut Le Pays.
"Le BET doit-il craindre un État fédéral ?" ; à ce propos, Moussa Pascal Sougui, dans les colonnes du journal Le Citoyen, résume qu'aucune région, moins encore le BET, ne va pas donc souffrir plus qu'actuellement dans un Tchad fédéral ou fortement décentralisé même si le fédéralisme n'est pas la panacée universelle pouvant résoudre le problème de mauvaise gouvernance qui s'est accumulé depuis plusieurs années".
"La conduite de la transition politique, le CMT joue au banabana", constate à sa Une Le Citoyen ."Le Conseil militaire de transition (CMT) au pouvoir après la mort d'Idriss Déby Itno avait suscité bien des espoirs. Mais très vite, en imposant sa marque, il fait déchanter les tchadiens qui vivent au quotidien des moments d'incertitudes sécuritaires, sociales, politiques, organisationnelles", ajoute-t-il.
"L'État en déliquescence", trouve N'Djamena Hebdo. Léditorialiste de l'hebdomadaire de s'interroger, quel avenir pour la République monarchique ? Le 28 novembre 2021, un évènement de taille, d'importance nationale, était encore passé sous silence. L'anniversaire de la proclamation de la République du Tchad, décidée le 28 novembre 1958, a été une nouvelle fois occulté. Il y a bien longtemps que cette journée pleine de symbole de l'histoire du Tchad a été réduite à une journée ordinaire par le feu Maréchal Idriss Déby Itno. Le Marchal ne l'avait pas seulement banalisée, mais a fini par l'enterrer complètement, préférant célébrer, en lieu et place de la République, "une grande prière œcuménique pour la paix". Une journée qu'il avait créé de toutes les pièces, avec les bénédictions des ledears des confessions musulmans et protestante", constate N'Djamena Hebdo.
Dans les colonnes de ce même journal, par rapport à ce sujet, Mahamat Moustapha Masri invite le CMT à s'engager sur la voie du vrai et profonde changement. "Ne ratons pas l'occasion de sortir notre pays par le haut", dit-il. "À ceux qui pensent que le statut quo actuel doit continuer, même au-delà de la transition, parce que c'est le seul moyen qui garantirait la sécurité et la paix, somme tout relatives, dans notre pays, je doute que ça soit ce que veulent leurs autres compatriotes. La recherche et le maintien de la sécurité et de la paix ne répondent donc que partiellement aux attentes de tous les tchadiens et ne suffisent pas à les réconcilier entre eux, à instaurer la cohésion nationale au sein de nos populations plurielles, à amorcer le véritable décollage économique du pays", analyse-t-il.
"Dans le viseur du CMT", titre à sa Une Le Visionnaire. "À la suite de la dénonciation du ministère de la Sécurité publique contre Max Loalngar et Me Koudé Mabainaisem au barreau des avocats, via le procureur général de la Cour en octobre dernier, le conseil disciplinaire de l'ordre, après débats contradictoires, a rendu sa décision, en rappelant à l'ordre ses confrères. Motif : manquement à la délicatesse. Les raisons seraient bien ailleurs", estime Le Visionnaire.
"Deux avocats rappelés à l'ordre", ajoute N'Djamena Hebdo. "Dans une décision n°001/COA/ 2021 du 13 novembre 2021, le Conseil de l'ordre des avocats du Tchad, au cours d'une audience disciplinaire, a rappelé à l'ordre les avocats Me Max Loalngar et Me Koudé Mabainaisem". À ce sujet, Me Max Loalngar indique que la plainte déposée par la police est non seulement une offense à leur personne mais une honte et une insulte a l'égard de l'intelligence policier.
"La fête du 1er décembre 2021, sous le signe du deuil, du recueillement et de la prière pour Déby", annonce l'Observateur. "Un premier décembre sans Déby", ajoute Le Visionnaire. Ce premier décembre 2021, le Tchad commémore la première journée de la liberté et de la démocratie sans Idriss Déby Itno. Une journée qui devrait être placée sous le signe du deuil par le MPS pour la mémoire de son leader incontesté qui, à la faveur d'un coup d'état militaire, un 1er décembre 1990, a mis fin au règne du feu Hisseine Habré".
Le 1er décembre, la fête de la commémoration de la journée de la démocratie et de liberté. C'est quand l'histoire se construit au singulier. Ils étaient plusieurs cadres militaires et civils à se battre contre le dictateur Hisseine Habré. Mais à la fin, un seul tire le drap à lui. Pour sa famille. Bonne fête aux oubliés", affirme Avocksoumna Atchenemou dans les colonnes de Le Citoyen.
La gestion du football tchadien, "la FIFA désavoue l'équipe Moctar", annonce à sa Une l'Observateur. "La FIFA a mis en place un comité de normalisation du football au Tchad. Une décision prise, à la suite de la décision conjointe FIFA-CAF en octobre dernier. Cette décision met fin à la gouvernance de l'actuelle équipe de la FTFA dirigée par Moctar Mahamoud Hamid. "Comité de normalisation à la FTFA : un désaveu de l'agitation de Moctar et comparses", ajoute Le Pays. "Près d'une décennie de gestion" désastreuse "à la tête de la FTFA, Moctar Mahamoud Hamid et ses complices sont désavoués par la FIFA qui annonce la mise sur pied d'un comité de normalisation", conclut Le Pays.