Le porte-parole du Collectif des organisations de la société civile (COSC), Mahamat Nour Ahmed Ibedou, a fait, ce mardi 12 février, à la maison des médias du Tchad, un point de presse pour dénoncer le bombardement de l'aviation française à plusieurs reprises, sur une colonne de rebelles tchadiens qui aurait tenté une incursion dans le nord-est du pays.
Selon le porte-parole du COSC, Mahamat Nour Ahmed Ibedou, "cette intervention aux relents de la Françafrique est le résultat évident d’une collusion mafieuse avec le système politique actuel connu pour être le garant notoire des intérêts français au Tchad."
Le COSC condamne avec la dernière énergie "cet interventionnisme néocolonial français au Tchad et exige l’arrêt immédiat de ce genre d’ingérence inacceptable au 21e siècle". Il rappelle que "cet interventionnisme est digne des époques que l’on croyait révolues. Cette époque où la France installait et chassait des chefs d’Etat africains du pouvoir au gré de ses intérêts est dépassée et obsolète."
Mahamat Nour Ahmed Ibedou declare que "le gouvernement français qui assure nuit et jour le bien-être de son propre peuple envoie ses avions militaires semer la mort dans les rangs des tchadiens". Il ajoute que cette intervention française dans un pays souverain est "d’autant plus indécente et contraire au principe du droit international qui fait actuellement débat même au sein de la classe politique française."
D'après lui, le gouvernement français, en posant cet acte grave, a une fois de plus opté résolument pour ses intérêts qui sont assurés par Idriss Déby au détriment des intérêts et du bien-être du peuple tchadien. « La France fera œuvre utile en aidant les tchadiens à créer un cadre de discussion inclusif et efficace au lieu de s’ingérer dans les affaires internes en s’engageant résolument au coté d’un régime politique impopulaire, irrespectueux des droits de l’Homme et en tuant sauvagement des tchadiens chez eux », fustige-t-il.
Le COSC réitère sa position "pour mettre fin au calvaire subi par le peuple tchadien, à l’organisation d’un dialogue inclusif dans un cadre neutre où toutes les forces vives du pays y compris les opposants armés débattront en toute souveraineté de tous les problèmes qui minent leur pays".
"Cette proposition avait été faite en son temps par notre regroupement lors du forum organisée par le gouvernement pour le passage en force à la 4ème République", rappelle le COSC.
Selon le porte-parole du COSC, Mahamat Nour Ahmed Ibedou, "cette intervention aux relents de la Françafrique est le résultat évident d’une collusion mafieuse avec le système politique actuel connu pour être le garant notoire des intérêts français au Tchad."
Le COSC condamne avec la dernière énergie "cet interventionnisme néocolonial français au Tchad et exige l’arrêt immédiat de ce genre d’ingérence inacceptable au 21e siècle". Il rappelle que "cet interventionnisme est digne des époques que l’on croyait révolues. Cette époque où la France installait et chassait des chefs d’Etat africains du pouvoir au gré de ses intérêts est dépassée et obsolète."
Mahamat Nour Ahmed Ibedou declare que "le gouvernement français qui assure nuit et jour le bien-être de son propre peuple envoie ses avions militaires semer la mort dans les rangs des tchadiens". Il ajoute que cette intervention française dans un pays souverain est "d’autant plus indécente et contraire au principe du droit international qui fait actuellement débat même au sein de la classe politique française."
D'après lui, le gouvernement français, en posant cet acte grave, a une fois de plus opté résolument pour ses intérêts qui sont assurés par Idriss Déby au détriment des intérêts et du bien-être du peuple tchadien. « La France fera œuvre utile en aidant les tchadiens à créer un cadre de discussion inclusif et efficace au lieu de s’ingérer dans les affaires internes en s’engageant résolument au coté d’un régime politique impopulaire, irrespectueux des droits de l’Homme et en tuant sauvagement des tchadiens chez eux », fustige-t-il.
Le COSC réitère sa position "pour mettre fin au calvaire subi par le peuple tchadien, à l’organisation d’un dialogue inclusif dans un cadre neutre où toutes les forces vives du pays y compris les opposants armés débattront en toute souveraineté de tous les problèmes qui minent leur pays".
"Cette proposition avait été faite en son temps par notre regroupement lors du forum organisée par le gouvernement pour le passage en force à la 4ème République", rappelle le COSC.