Maître Amos Allahta, avocat de l’ancienne ministre de la Santé publique, Toupta Boguena. © Djimet Wiche/Alwihda Info
Maître Amos Allahta, avocat de l’ancienne ministre de la Santé publique, Toupta Boguena, ayant porté plainte contre le directeur de publication du journal « Salam Info » pour diffamation, a indiqué jeudi que le dossier a été reporté pour une reprogrammation suite à une clause de conscience invoquée par un juge qui se dit stigmatisé dans ce dossier.
« Je n’ai pas une réaction particulière par rapport à la décision de la cour de la 4ème chambre correctionnelle mais je trouve que c’est tout à fait logique lorsqu’un juge est stigmatisé. Il est mis en cause et à un moment donné, il y a ce qu’on appelle la clause de conscience », a expliqué maître Amos Allahta.
« C’est tout à fait logique qu’il se dessaisit du dossier mais ce n’est pas dire que l’affaire est terminée. Il y aura une nouvelle composition qui va se saisir du dossier. Pour l’instant, je trouve qu’il s’agit d’une question de conscience. Nous sommes sereins, que ce soit devant cette composition ou une autre. Le droit sera dit parce que les faits sont accablants », a-t-il ajouté.
Martin Inouga Doulguet a été condamné à trois ans d'emprisonnement ferme pour diffamation, dénonciation calomnieuse et association de malfaiteurs informatique.
« Je n’ai pas une réaction particulière par rapport à la décision de la cour de la 4ème chambre correctionnelle mais je trouve que c’est tout à fait logique lorsqu’un juge est stigmatisé. Il est mis en cause et à un moment donné, il y a ce qu’on appelle la clause de conscience », a expliqué maître Amos Allahta.
« C’est tout à fait logique qu’il se dessaisit du dossier mais ce n’est pas dire que l’affaire est terminée. Il y aura une nouvelle composition qui va se saisir du dossier. Pour l’instant, je trouve qu’il s’agit d’une question de conscience. Nous sommes sereins, que ce soit devant cette composition ou une autre. Le droit sera dit parce que les faits sont accablants », a-t-il ajouté.
Martin Inouga Doulguet a été condamné à trois ans d'emprisonnement ferme pour diffamation, dénonciation calomnieuse et association de malfaiteurs informatique.