La hausse du prix du haricot sur le marché crée des discordes entre les détenteurs de gargote et leurs clients. Du marché à mil dans le 3ème arrondissement de la capitale tchadienne, en passant par le marché de Dembé dans le 6ème arrondissement et le marché Habbena dans le 7ème arrondissement, le prix d’un « Koro » d’haricot varie entre 1750 et 2000 FCFA. Pour Ahmat Abdoulaye, commerçant au marché de Dembé, « le sac d’haricot coût cher, c’est ce qui nous a amené à vendre le prix d’un « Koro » à 1750 FCFA aux grossistes ». Cette situation obligent les détenteurs de certaines gargotes à augmenter le prix d’un plat de haricot qui passe de 200 à 250FCFA.
Par contre, d’autres ont maintenu le prix de 200 FCFA, mais diminuent la quantité du plat. Yves, un client rencontré dans une gargote de la pace estime « qu’aucune raison ne justifie la hausse du prix d’un plat d’haricot à 250 FCFA car le Tchad est un pays agricole ». Selon Gloria, une détentrice d’une gargote dans le 3ème arrondissement, la situation est difficile à faire comprendre aux clients : « nous présentation le plat avec les ingrédients comme l’huile, sucre et encore l’huile coût cher », explique-t-elle.
Le haricot est l’aliment le plus consommé par certaines catégories de Ndjamenois, majoritairement par les jeunes débrouillards, les vieillards et autres. Il est riche en protéines et en vitamines C, B2 et B3. Il ne passe pas un jour, sans que des clients ne plaignent de la hausse des prix de divers plats offerts par les tenanciers de gargotes. Selon Clément, mécanicien auto, pour assurer sa ration journalière, « l’on peut facilement dépenser 2000FCFA dans une gargote de la place ».
Cette situation interpelle l’ADC de revoir les prix de différents plats proposés dans les gargotes, en faisant une étude des aliments sur le marché afin de rendre le prix abordable à tous.
Par contre, d’autres ont maintenu le prix de 200 FCFA, mais diminuent la quantité du plat. Yves, un client rencontré dans une gargote de la pace estime « qu’aucune raison ne justifie la hausse du prix d’un plat d’haricot à 250 FCFA car le Tchad est un pays agricole ». Selon Gloria, une détentrice d’une gargote dans le 3ème arrondissement, la situation est difficile à faire comprendre aux clients : « nous présentation le plat avec les ingrédients comme l’huile, sucre et encore l’huile coût cher », explique-t-elle.
Le haricot est l’aliment le plus consommé par certaines catégories de Ndjamenois, majoritairement par les jeunes débrouillards, les vieillards et autres. Il est riche en protéines et en vitamines C, B2 et B3. Il ne passe pas un jour, sans que des clients ne plaignent de la hausse des prix de divers plats offerts par les tenanciers de gargotes. Selon Clément, mécanicien auto, pour assurer sa ration journalière, « l’on peut facilement dépenser 2000FCFA dans une gargote de la place ».
Cette situation interpelle l’ADC de revoir les prix de différents plats proposés dans les gargotes, en faisant une étude des aliments sur le marché afin de rendre le prix abordable à tous.