Le Collectif des Associations et Mouvements des Jeunes du Tchad (CAMOJET) a marqué sa rentrée officielle par un point de presse, tenu à son siège ce 28 février 2025.
À cette occasion, son coordonnateur, Ahmat Haroun Lary, a salué les avancées obtenues en faveur de la jeunesse, tout en appelant à des actions plus concrètes pour répondre aux défis socio-économiques du pays. Le CAMOJET a accordé une mention spéciale au décret n° 0075/PR/2025 instituant un Prix d’Excellence, un pas significatif dans la reconnaissance et la promotion des talents jeunes.
Cependant, Ahmat Haroun Lary a insisté sur la nécessité d’ouvrir davantage les portes de la fonction publique, et de créer des emplois en impliquant le secteur privé. « La situation sociopolitique et sécuritaire demeure préoccupante. Nous appelons les hautes autorités à agir avec célérité pour éviter toute détérioration », a déclaré le coordonnateur du collectif. Le CAMOJET a mis en avant des recommandations visant à améliorer le climat économique, notamment par le développement des infrastructures et l'accès aux technologies numériques.
« Il est primordial d’actualiser la législation du travail, et de mettre en place des filets de sécurité sociale solides pour les travailleurs », a-t-il souligné. Face à la cherté de la vie, l’organisation exhorte les opérateurs économiques à faire preuve de responsabilité en évitant les hausses abusives des prix des denrées alimentaires.
Le CAMOJET a rappelé que la jeunesse tchadienne, bien que majoritaire dans la population, demeure en proie au chômage. Le collectif plaide pour la mise en place de débouchés professionnels et économiques concrets, afin d’assurer son autonomisation.
Par ailleurs, l’organisation a mis en avant l'importance de la participation citoyenne des jeunes dans la gouvernance nationale. « Le Forum national inclusif de 2018 a ouvert la voie à une meilleure coopération entre les jeunes et les institutions, mais il reste encore du chemin à parcourir », a affirmé Ahmat Haroun Lary.
Un autre point clé abordé est la persistance des violences basées sur le genre (VBG). « Les femmes continuent à subir des violences atroces malgré les sanctions infligées aux auteurs. Un renforcement du dispositif de protection est nécessaire », a-t-il insisté.
Enfin, le CAMOJET a réaffirmé son engagement à défendre les intérêts des jeunes et de toutes les couches sociales, en collaborant étroitement avec les autorités et les partenaires au développement.
À cette occasion, son coordonnateur, Ahmat Haroun Lary, a salué les avancées obtenues en faveur de la jeunesse, tout en appelant à des actions plus concrètes pour répondre aux défis socio-économiques du pays. Le CAMOJET a accordé une mention spéciale au décret n° 0075/PR/2025 instituant un Prix d’Excellence, un pas significatif dans la reconnaissance et la promotion des talents jeunes.
Cependant, Ahmat Haroun Lary a insisté sur la nécessité d’ouvrir davantage les portes de la fonction publique, et de créer des emplois en impliquant le secteur privé. « La situation sociopolitique et sécuritaire demeure préoccupante. Nous appelons les hautes autorités à agir avec célérité pour éviter toute détérioration », a déclaré le coordonnateur du collectif. Le CAMOJET a mis en avant des recommandations visant à améliorer le climat économique, notamment par le développement des infrastructures et l'accès aux technologies numériques.
« Il est primordial d’actualiser la législation du travail, et de mettre en place des filets de sécurité sociale solides pour les travailleurs », a-t-il souligné. Face à la cherté de la vie, l’organisation exhorte les opérateurs économiques à faire preuve de responsabilité en évitant les hausses abusives des prix des denrées alimentaires.
Le CAMOJET a rappelé que la jeunesse tchadienne, bien que majoritaire dans la population, demeure en proie au chômage. Le collectif plaide pour la mise en place de débouchés professionnels et économiques concrets, afin d’assurer son autonomisation.
Par ailleurs, l’organisation a mis en avant l'importance de la participation citoyenne des jeunes dans la gouvernance nationale. « Le Forum national inclusif de 2018 a ouvert la voie à une meilleure coopération entre les jeunes et les institutions, mais il reste encore du chemin à parcourir », a affirmé Ahmat Haroun Lary.
Un autre point clé abordé est la persistance des violences basées sur le genre (VBG). « Les femmes continuent à subir des violences atroces malgré les sanctions infligées aux auteurs. Un renforcement du dispositif de protection est nécessaire », a-t-il insisté.
Enfin, le CAMOJET a réaffirmé son engagement à défendre les intérêts des jeunes et de toutes les couches sociales, en collaborant étroitement avec les autorités et les partenaires au développement.