Après les partis politiques, le Comité d'organisation du dialogue national inclusif (CODNI) a échangé le 13 janvier dernier avec les institutions publiques et les organisations nationales et internationales sur les différentes thématiques du futur dialogue.
Le code électoral, le mandat électoral, le maintien de la paix et sécurité, le vivre ensemble, le fédéralisme, l’organisation des élections libres et transparentes, le projet de charte et les libertés de 88 articles, sont entre autres les sujets qui ont été débattus par les sous-comités thématiques du dialogue, avec les différentes institutions de l’État et les organisations nationales et internationales.
Au cours des échanges, des recommandations ont été formulées par les différents sous-comités à savoir : définir un indicateur national des vulnérabilités permettant la prise en charge des personnes démunies, améliorer les leaderships des femmes par des programmes de renforcement de capacités, intensifier les actions de lutte contre la violence basée sur le genre, en vue de leur élimination à terme, moderniser certaines filières artisanales locales renforcer les dispositions existantes du code pénal par une législation spécifique en matière de trafic d’enfants, fermer toute la chaîne administrative et judiciaire à la protection de l’intégrité physique et morale de l’enfant, mettre en place une police d’investigation spécialisée dans le domaine de trafic et de la traite des enfants etc.
Les participants et participantes ont intervenu pour plaider à ce qu’il y ait un comité de gestion de conflits agriculteur-éleveur, rendre formel le secteur informel, garantir le manque de confiance du peuple. Pour les participants, il faut relever les défis de l’échec de la conférence souveraine de 1993, valoriser les ressources actuelles, avoir confiance à la jeunesse pour la réussite de ce dialogue, appuyer les organisations nationales dans leur projet de développement et leur implication, organiser le pré-dialogue pour les organisations nationales et internationales afin de prendre en compte leurs recommandations, la question de changement climatique.
Le ministre d’État chargé de la Réconciliation nationale et du Dialogue, Acheikh Ibn Oumar, a précisé que le dialogue se passera dans la liberté et la volonté de tous. Il exhorte à la patience pour un succès du dialogue.
Le code électoral, le mandat électoral, le maintien de la paix et sécurité, le vivre ensemble, le fédéralisme, l’organisation des élections libres et transparentes, le projet de charte et les libertés de 88 articles, sont entre autres les sujets qui ont été débattus par les sous-comités thématiques du dialogue, avec les différentes institutions de l’État et les organisations nationales et internationales.
Au cours des échanges, des recommandations ont été formulées par les différents sous-comités à savoir : définir un indicateur national des vulnérabilités permettant la prise en charge des personnes démunies, améliorer les leaderships des femmes par des programmes de renforcement de capacités, intensifier les actions de lutte contre la violence basée sur le genre, en vue de leur élimination à terme, moderniser certaines filières artisanales locales renforcer les dispositions existantes du code pénal par une législation spécifique en matière de trafic d’enfants, fermer toute la chaîne administrative et judiciaire à la protection de l’intégrité physique et morale de l’enfant, mettre en place une police d’investigation spécialisée dans le domaine de trafic et de la traite des enfants etc.
Les participants et participantes ont intervenu pour plaider à ce qu’il y ait un comité de gestion de conflits agriculteur-éleveur, rendre formel le secteur informel, garantir le manque de confiance du peuple. Pour les participants, il faut relever les défis de l’échec de la conférence souveraine de 1993, valoriser les ressources actuelles, avoir confiance à la jeunesse pour la réussite de ce dialogue, appuyer les organisations nationales dans leur projet de développement et leur implication, organiser le pré-dialogue pour les organisations nationales et internationales afin de prendre en compte leurs recommandations, la question de changement climatique.
Le ministre d’État chargé de la Réconciliation nationale et du Dialogue, Acheikh Ibn Oumar, a précisé que le dialogue se passera dans la liberté et la volonté de tous. Il exhorte à la patience pour un succès du dialogue.