La formation vise à accompagner les jeunes en période des vacances afin de réduire le taux de chômage. Elle a débuté le 14 juillet pour une durée de 45 jours, et a ciblé les domaines de la mécanique, pâtisserie, électricité et production de produits locaux.
Selon le directeur de FONAP, Hamid Yamouda, "la question de la formation des jeunes et de l'emploi sont des enjeux majeurs pour nous, tout comme pour le gouvernement du Tchad. L'insertion socioprofessionnelle des jeunes par la formation professionnelle préoccupe les autorités".
"Cette étape doit consister à jeter les bases d'une véritable croissance économique du pays car, sans une croissance forte et durable, on ne peut véritablement pas envisager la création d"emplois décents suffisants", a-t-il ajouté.
Selon le directeur de FONAP, Hamid Yamouda, "la question de la formation des jeunes et de l'emploi sont des enjeux majeurs pour nous, tout comme pour le gouvernement du Tchad. L'insertion socioprofessionnelle des jeunes par la formation professionnelle préoccupe les autorités".
"Cette étape doit consister à jeter les bases d'une véritable croissance économique du pays car, sans une croissance forte et durable, on ne peut véritablement pas envisager la création d"emplois décents suffisants", a-t-il ajouté.
Hamid Yamouda a exhorté les jeunes à mettre en pratique les acquis sur le terrain dans le sens de l'auto-emploi afin de se prendre en charge.
Le centre Don-Bosco est une institution catholique qui a un objectif social, celui de secourir les personnes vulnérables. La formation s'inscrit dans l'agenda du centre afin d'aider le gouvernement en matière professionnelle, a expliqué Deuba Rodrigue, coordonnateur de formation.
La formation a pris en compte toutes les catégories des jeunes, notamment les diplômes sans emploi ou encore les filles-mères.
Le centre Don-Bosco est une institution catholique qui a un objectif social, celui de secourir les personnes vulnérables. La formation s'inscrit dans l'agenda du centre afin d'aider le gouvernement en matière professionnelle, a expliqué Deuba Rodrigue, coordonnateur de formation.
La formation a pris en compte toutes les catégories des jeunes, notamment les diplômes sans emploi ou encore les filles-mères.