N'Djamena - Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l'Homme au Tchad a lancé depuis le 8 mars, au Ledger Plaza, une formation des organisations de la société civile sur la protection des droits humains.
L'atelier de formation vise à outiller sur les techniques de surveillance et d'élaboration des rapports sur les violations des droits de l'Homme. Il est financé par l'Union européenne et regroupe 40 participants.
La représentante du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'Homme au Tchad, Flaminia Minelli, a indiqué que l'objectif est de renforcer les capacités des institutions nationales des droits de l'Homme et des organisations de la société civile des pays du G5 Sahel.
L'atelier de formation vise à outiller sur les techniques de surveillance et d'élaboration des rapports sur les violations des droits de l'Homme. Il est financé par l'Union européenne et regroupe 40 participants.
La représentante du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'Homme au Tchad, Flaminia Minelli, a indiqué que l'objectif est de renforcer les capacités des institutions nationales des droits de l'Homme et des organisations de la société civile des pays du G5 Sahel.
Elle a invité les participants à se prêter aux échanges pour bénéficier au mieux de la formation. En conformité avec l'objectif de nouer une relation de confiance entre les forces de défense et de sécurité et les populations dans les pays du G5 Sahel, la formation permettra de renforcer davantage la lutte contre le terrorisme, la criminalité et les trafics des êtres humains.
Le président de la Commission nationale des droits de l'Homme (CNDH), Djidda Oumar Mahamat, a souligné que "les violations des droits humains, la criminalité et les trafics dans la région du Sahel ont doublement augmenté depuis 2015".
Les participants devront être en mesure d'élaborer et d'appliquer les mesures de protection des droits de l'Homme durant le processus de surveillance et d'enquête en période de conflits, d'analyser les informations collectées sur les diverses violations des droits de l'Homme, et de rédiger un rapport à l'intention des autorités nationales compétentes.
Le président de la Commission nationale des droits de l'Homme (CNDH), Djidda Oumar Mahamat, a souligné que "les violations des droits humains, la criminalité et les trafics dans la région du Sahel ont doublement augmenté depuis 2015".
Les participants devront être en mesure d'élaborer et d'appliquer les mesures de protection des droits de l'Homme durant le processus de surveillance et d'enquête en période de conflits, d'analyser les informations collectées sur les diverses violations des droits de l'Homme, et de rédiger un rapport à l'intention des autorités nationales compétentes.