Le chef du gouvernement de transition Pahimi Padacké Albert a assuré jeudi que tout élément des forces de défense et de sécurité qui se livrerait à des exactions sera sévèrement sanctionné.
"S'il arrive, que ce soit au Lac ou ailleurs, que des individus parmi les forces de défense et de sécurité, commettent des exactions contre les populations, chaque fois que le gouvernement aura des éléments sur un cas précis, des sanctions sévères seront prises", a affirmé Pahimi Padacké Albert.
Depuis que le gouvernement de transition est en place, il y a eu pas moins d'une dizaine de radiations dans la police et dans les forces de défense et de sécurité. "Simplement parce que ces individus ne se sont pas comportés dans le respect de leur mission vis-à-vis des citoyens", a dit le premier ministre.
Ces deux dernières semaines, trois militaires ont été radiés par décret du corps des forces de défense et de sécurité pour des fautes très graves et comportements déviants. Ce sont les sanctions les plus lourdes prises par le président du CMT. En juillet 2021, un chef d’antenne des renseignements généraux a été radié après avoir abattu son collègue à N’Djamena.
Le président du Conseil militaire de transition et le gouvernement sont "en harmonie sur les sanctions à prendre chaque fois qu'une information est portée à notre connaissance", a conclu Pahimi Padacké Albert.
"S'il arrive, que ce soit au Lac ou ailleurs, que des individus parmi les forces de défense et de sécurité, commettent des exactions contre les populations, chaque fois que le gouvernement aura des éléments sur un cas précis, des sanctions sévères seront prises", a affirmé Pahimi Padacké Albert.
Depuis que le gouvernement de transition est en place, il y a eu pas moins d'une dizaine de radiations dans la police et dans les forces de défense et de sécurité. "Simplement parce que ces individus ne se sont pas comportés dans le respect de leur mission vis-à-vis des citoyens", a dit le premier ministre.
Ces deux dernières semaines, trois militaires ont été radiés par décret du corps des forces de défense et de sécurité pour des fautes très graves et comportements déviants. Ce sont les sanctions les plus lourdes prises par le président du CMT. En juillet 2021, un chef d’antenne des renseignements généraux a été radié après avoir abattu son collègue à N’Djamena.
Le président du Conseil militaire de transition et le gouvernement sont "en harmonie sur les sanctions à prendre chaque fois qu'une information est portée à notre connaissance", a conclu Pahimi Padacké Albert.