Le président du Parti socialiste sans frontières (PSF), Yaya Dillo Djerou, a installé le 2 octobre les membres du conseil communal du 1er arrondissement de N'Djamena.
"Les membres du bureau qui viennent d’être installés ont de lourdes responsabilités", a affirmé Yaya Dillo. "Nous serons demain fiers de vous voir à l’œuvre pour brandir encore plus haut le flambeau du parti", a-t-il ajouté.
Le conseil communal est dirigé par le secrétaire général Souleymane Mahamat Kingue. Il est composé de 28 membres. Il a pour défi de faire gagner le parti dans ce grand arrondissement de la capitale où différentes sensibilités sociales du pays cohabitent.
Pour le leader du PSF, Yaya Dillo, "la junte a pris le pouvoir de manière anticonstitutionnelle. La mise en place du Conseil national de transition (CNT) ne s'est pas faite dans la transparence. Ce dialogue en cours n"est pas une dialogue".
Il estime que la junte au pouvoir bouche les oreilles face à plusieurs propositions de l'opposition et de la diaspora. Par exemple, le PSF a défendu l'idée d'une mise en place du CNT après la tenue du dialogue. Le parti craint une Constitution taillée sur mesure pour permettre à la junte de garder le pouvoir autant que possible et dénonce une Charte de transition imposée.
"Les membres du bureau qui viennent d’être installés ont de lourdes responsabilités", a affirmé Yaya Dillo. "Nous serons demain fiers de vous voir à l’œuvre pour brandir encore plus haut le flambeau du parti", a-t-il ajouté.
Le conseil communal est dirigé par le secrétaire général Souleymane Mahamat Kingue. Il est composé de 28 membres. Il a pour défi de faire gagner le parti dans ce grand arrondissement de la capitale où différentes sensibilités sociales du pays cohabitent.
Pour le leader du PSF, Yaya Dillo, "la junte a pris le pouvoir de manière anticonstitutionnelle. La mise en place du Conseil national de transition (CNT) ne s'est pas faite dans la transparence. Ce dialogue en cours n"est pas une dialogue".
Il estime que la junte au pouvoir bouche les oreilles face à plusieurs propositions de l'opposition et de la diaspora. Par exemple, le PSF a défendu l'idée d'une mise en place du CNT après la tenue du dialogue. Le parti craint une Constitution taillée sur mesure pour permettre à la junte de garder le pouvoir autant que possible et dénonce une Charte de transition imposée.