Depuis quelques jours une vidéo de deux minutes circule sur le net et les réseaux sociaux montrant ainsi des agents de la police Du GMIP (Groupement Mobile d'intervention de la Police), torturer des étudiants arrêtés ayant manifestés contre le port du casque et les abus de la police. La vidéo nous montres clairement des étudiants au sol, roués de coups au bâton par plusieurs éléments de ce groupement.
La vidéo à t'elle été prise volontairement par l'un de ses agents au vu des autres ou discrètement dans le but de dénoncer ces abus ? C'est ce que nous ignorons pour le moment mais toutefois le procureur de la République du Tchad s'est saisit de cette affaire sur la demande apparement du Ministère de l'intérieur et de la sécurité publique.
Une enquête a donc été ouverte à l'encontre des faits que révèle la vidéo et a l'encontre des policiers ayant très largement abusés de leurs prérogatives sur de jeunes étudiants qui n'ont qu'user le droit le plus absolu de contester pacifiquement des abus intolérables.
La vidéo constitue donc une preuve irréfutable à l'encontre de ces agents de la police du GMIP, qui risqueraient selon le procureur de la république si "les faits sont avérés", de très lourdes conséquences et de sévères sanctions. La justice aura donc son mot à dire.
Cette vidéo ne vient qu'amplifier la colère des étudiants qui en réalité, veulent coude que coude la fin des abus des agents de la police et un minimum de considération et du respect de la dignité humaine et donc mettre fin à ce rapport d'autorité abusif entre l'agent représentant l'administration et l'administré en général. Ce combat de quelques milliers de jeunes est surtout orienté contre les bavures policières contre un département spécifique qui est le Ministère de l'intérieur car la voix presque unanime des étudiants a demandée la démission du Ministre de l'intérieur, Abderahim Birémé. C'est au vu d'une réaction traditionnel du ministère de la police que la situation s'est amplifié "ils ont préférés utiliser la force plutôt que nous écouter" s'exclamait un étudiant présent lors du deuil du défunt "Hassan Daoud" tué par balle(s) réelle(s) lors de la manifestation par un des agents de la police nationale.
La réaction des autres membres du gouvernement est plutôt absente ou fébrile certains affichent d'un langage soutenu un double discours à la fois et d'autres s'abstiennent davantage de se positionner.
Même si la police nationale est un service public régalien assuré directement par l'administration centrale et que le respect de la hiérarchie est bien confirmé tout naturellement, les mécontentements vont directement à l'encontre de la police nationale et au plus au Chef du département ministériel de l'intérieur.
La présidence de la République n'a pas encore réagit face à ce problème ni même la primature, qui reste tout de même "majeur" mais pourtant qui a été probablement minimisé afin de ne pas donner de l'ampleur a cette contestation.
Les réactions sur les réseaux sociaux pèsent sur la même voix, beaucoup sont choqués de ce comportement de la force publique, le Directeur général des droits de l'homme, Abdelnasser Garboa, a dénoncé aussi ce genre de comportement qui n'est bien-sûr pas digne du respect ne serais ce que de la dignité humaine et une atteinte corporelle contraire au droits de l'homme.
La vidéo à t'elle été prise volontairement par l'un de ses agents au vu des autres ou discrètement dans le but de dénoncer ces abus ? C'est ce que nous ignorons pour le moment mais toutefois le procureur de la République du Tchad s'est saisit de cette affaire sur la demande apparement du Ministère de l'intérieur et de la sécurité publique.
Une enquête a donc été ouverte à l'encontre des faits que révèle la vidéo et a l'encontre des policiers ayant très largement abusés de leurs prérogatives sur de jeunes étudiants qui n'ont qu'user le droit le plus absolu de contester pacifiquement des abus intolérables.
La vidéo constitue donc une preuve irréfutable à l'encontre de ces agents de la police du GMIP, qui risqueraient selon le procureur de la république si "les faits sont avérés", de très lourdes conséquences et de sévères sanctions. La justice aura donc son mot à dire.
Cette vidéo ne vient qu'amplifier la colère des étudiants qui en réalité, veulent coude que coude la fin des abus des agents de la police et un minimum de considération et du respect de la dignité humaine et donc mettre fin à ce rapport d'autorité abusif entre l'agent représentant l'administration et l'administré en général. Ce combat de quelques milliers de jeunes est surtout orienté contre les bavures policières contre un département spécifique qui est le Ministère de l'intérieur car la voix presque unanime des étudiants a demandée la démission du Ministre de l'intérieur, Abderahim Birémé. C'est au vu d'une réaction traditionnel du ministère de la police que la situation s'est amplifié "ils ont préférés utiliser la force plutôt que nous écouter" s'exclamait un étudiant présent lors du deuil du défunt "Hassan Daoud" tué par balle(s) réelle(s) lors de la manifestation par un des agents de la police nationale.
La réaction des autres membres du gouvernement est plutôt absente ou fébrile certains affichent d'un langage soutenu un double discours à la fois et d'autres s'abstiennent davantage de se positionner.
Même si la police nationale est un service public régalien assuré directement par l'administration centrale et que le respect de la hiérarchie est bien confirmé tout naturellement, les mécontentements vont directement à l'encontre de la police nationale et au plus au Chef du département ministériel de l'intérieur.
La présidence de la République n'a pas encore réagit face à ce problème ni même la primature, qui reste tout de même "majeur" mais pourtant qui a été probablement minimisé afin de ne pas donner de l'ampleur a cette contestation.
Les réactions sur les réseaux sociaux pèsent sur la même voix, beaucoup sont choqués de ce comportement de la force publique, le Directeur général des droits de l'homme, Abdelnasser Garboa, a dénoncé aussi ce genre de comportement qui n'est bien-sûr pas digne du respect ne serais ce que de la dignité humaine et une atteinte corporelle contraire au droits de l'homme.