Pour le président du SYNECS, au niveau de I'enseignement supérieur, beaucoup reste à faire en vue de l'amélioration des conditions de vie et de travail du personnel. Les lauréats du CAMES et du CSUE du Tchad qui se comptent sur le bout des doigts sont les plus mal traités dans les milieux académiques de la sous-région. Leurs primes et indemnités demandent à être revalorisées.
Le SYNECS demande au gouvernement de renouveler la bourse CONFOFOR, promesse du Maréchal du Tchad, afin de permettre au pays d'avoir des enseignants de rang magistral ; et de signer le décret sur le minimum horaire et le statut autonome des enseignants du supérieur.
Par ailleurs, le SYNECS informe les enseignants et chercheurs du supérieur que si quelques efforts se font au niveau gouvernemental, ils sont tenus à l'obligation de résultat.