Le centre de tissage manuel féminin de Farcha (COTIMAF) est une richesse abandonnée à son triste sort alors qu'il s'agit d'un bien commun qui doit contribuer au développement du pays avec ses produits de très bonne qualité.
Situé dans le 1er arrondissement de la capitale, à Farcha, le centre à grand besoin d'aide pour son bon fonctionnement. Actuellement, quelques machines destinées au tissage de tissus traditionnels sont fonctionnelles. Cependant, le manque de suivi et de soutien freine son épanouissement.
Dans l'atelier, sont tissés des torchons, des écharpes, des habits traditionnels, des nappes, des napperons, ainsi que d'autres biens de qualité.
Situé dans le 1er arrondissement de la capitale, à Farcha, le centre à grand besoin d'aide pour son bon fonctionnement. Actuellement, quelques machines destinées au tissage de tissus traditionnels sont fonctionnelles. Cependant, le manque de suivi et de soutien freine son épanouissement.
Dans l'atelier, sont tissés des torchons, des écharpes, des habits traditionnels, des nappes, des napperons, ainsi que d'autres biens de qualité.
La semaine dernière, un groupe d'entrepreneurs amoureux de la mode (Sisters Designs, Suelegance, Zinette fashion et Rimbor Chic) s'est porté volontaire pour une opération de salubrité sur les lieux. Leur visite a permis de constater l'état de dégradation avancé.
Des entrepreneurs plaident pour un soutien au centre sur tous les plans. "C'est une richesse capitale qui entre dans le corps du développement du Tchad", estiment-ils.
La structure est "en voie de disparition totale". À bout de souffle, le centre n'est pas encore à terre ; l'exploitation de son potentiel peut profiter à tous les citoyens.
Des entrepreneurs plaident pour un soutien au centre sur tous les plans. "C'est une richesse capitale qui entre dans le corps du développement du Tchad", estiment-ils.
La structure est "en voie de disparition totale". À bout de souffle, le centre n'est pas encore à terre ; l'exploitation de son potentiel peut profiter à tous les citoyens.