De l'avis de l'opposant Max Kemkoye, il y a une "volonté de nuisance des légendaires du défunt régime, aidés par leurs nouveaux alliés politiques, qui se lit dans tous les actes posés".
Le leader de l'UDP s'indigne notamment des tueries du 27 avril 2021 au cours des manifestations à N'Djamena et en province, du refus de médiation du président du CMT avec la rébellion du FACT ou encore de la hausse de la criminalité dans le pays.
Max Kemkoye indique que "gagner une guerre ne signifie pas gagner la paix". Il préconise le dialogue et la main tendue avec les groupes armés pour "transformer la victoire militaire en une victoire politique".
À entendre le leader de l'UDP, la charte de transition est "floue, imprécise, incohérente, contradictoire et inopérante, accouchée des mains inexpertes avec une superposition d’un exécutif à deux têtes".
"Le futur est totalement incertain voir menaçant, tant la crise financière adossée à la délinquance économique et financière du nouveau pouvoir avec en toile de fond la difficulté de maîtrise de la gouvernance économique et financière, l’absence de perspectives maîtrisées en la matière en témoignent", affirme Max Kemkoye.
Le leader politique appelle le général Mahamat Idriss Deby a "épouser l’une des qualités d’un dirigeant, l’écoute active qui l’aidera à gérer les quelques jours où mois qui lui restent, à l’effet de sortir au moins simplement et tranquillement".
Le leader de l'UDP s'indigne notamment des tueries du 27 avril 2021 au cours des manifestations à N'Djamena et en province, du refus de médiation du président du CMT avec la rébellion du FACT ou encore de la hausse de la criminalité dans le pays.
Max Kemkoye indique que "gagner une guerre ne signifie pas gagner la paix". Il préconise le dialogue et la main tendue avec les groupes armés pour "transformer la victoire militaire en une victoire politique".
À entendre le leader de l'UDP, la charte de transition est "floue, imprécise, incohérente, contradictoire et inopérante, accouchée des mains inexpertes avec une superposition d’un exécutif à deux têtes".
"Le futur est totalement incertain voir menaçant, tant la crise financière adossée à la délinquance économique et financière du nouveau pouvoir avec en toile de fond la difficulté de maîtrise de la gouvernance économique et financière, l’absence de perspectives maîtrisées en la matière en témoignent", affirme Max Kemkoye.
Le leader politique appelle le général Mahamat Idriss Deby a "épouser l’une des qualités d’un dirigeant, l’écoute active qui l’aidera à gérer les quelques jours où mois qui lui restent, à l’effet de sortir au moins simplement et tranquillement".