Lors de son point de presse ce 10 avril 2025, le président du Comité interministériel chargé de la mise en œuvre des recommandations issues des travaux de recensement des réserves de l’État dans la ville de N’Djamena, par ailleurs ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Habitat et de l’Urbanisme, Mahamat Assileck Halata, a apporté plusieurs précisions.
Il a rappelé que certains terrains situés dans la capitale font actuellement l’objet de litiges, notamment en raison de titres fonciers considérés comme frauduleux.
À titre d’exemple, il a cité :
• Le terrain d’Abzénaba, situé dans le 2ᵉ arrondissement, pour lequel il affirme que le titre foncier est faux.
• Le terrain Asasé, également dans le 2ᵉ arrondissement, qui serait également concerné par un faux titre foncier.
• Le terrain jouxtant l’Institut Français, dans le 3ᵉ arrondissement, dont le titre foncier aurait été établi sur la base d’une autorisation provisoire datant de l’époque, sans attendre la délivrance légale du titre.
Le ministre a été clair : « Tout titre foncier établi sur une base illégale sera annulé ». Cette déclaration s’inscrit dans la volonté du gouvernement de restaurer l’ordre dans la gestion du patrimoine foncier public et de mettre fin à l’accaparement illicite des réserves de l’État.
Il a rappelé que certains terrains situés dans la capitale font actuellement l’objet de litiges, notamment en raison de titres fonciers considérés comme frauduleux.
À titre d’exemple, il a cité :
• Le terrain d’Abzénaba, situé dans le 2ᵉ arrondissement, pour lequel il affirme que le titre foncier est faux.
• Le terrain Asasé, également dans le 2ᵉ arrondissement, qui serait également concerné par un faux titre foncier.
• Le terrain jouxtant l’Institut Français, dans le 3ᵉ arrondissement, dont le titre foncier aurait été établi sur la base d’une autorisation provisoire datant de l’époque, sans attendre la délivrance légale du titre.
Le ministre a été clair : « Tout titre foncier établi sur une base illégale sera annulé ». Cette déclaration s’inscrit dans la volonté du gouvernement de restaurer l’ordre dans la gestion du patrimoine foncier public et de mettre fin à l’accaparement illicite des réserves de l’État.