Le ministre Mahamat Bechir Cherif affirme avoir constaté que des personnes mal intentionnées se livrent sur les réseaux sociaux à des attaques personnelles mettant à mal le vivre ensemble au Tchad.
Selon le président du CSAI, Cheikh Mahamat Khatir Issa, les tensions entre Tijaniyah et Wahhabite d'une part, et Mohammadi et Salafi d'autre part, sont des "introductions à la tentation et des mauvais présages". Il appelle les parties en conflit à "cesser ces conflits haineux et à revenir à la raison car le pays est dans un embarras qui ne s'accommode pas de ces comportements irritables". Cheikh Mahamat Khatir Issa déplore des "points de vue sectaires qui mènent finalement à la haine et au démantèlement des rangs des musulmans".
Le CSAI doit "faire un effort"
Le ministère de l'Administration du territoire renvoie la balle au CSAI qui lui a demandé "d'ajuster la situation (...) pour protéger la société de la fragmentation communautaire". Pour le gouvernement, "le CSAI est "le seul organe officiel qui représente tous les musulmans au Tchad auprès du gouvernement". À ce titre, il est "strictement interdit de prêcher des thèmes controversés, de construire des mosquées, des écoles coraniques, des écoles religieuses ou institutions sans son avis préalable", indique le ministre de l'Administration du territoire et de la Décentralisation.
Mahamat Bechir Cherif appelle le CSAI à "faire un effort constant pour contenir toutes les confréries religieuses sans exclusion au sein du Conseil en vue de préserver l'unité, la paix et la bonne collaboration dans l'intérêt du pays". Le CSAI doit "circonscrire toutes les dérives qui perturbent l'ordre public".
Selon le président du CSAI, Cheikh Mahamat Khatir Issa, les tensions entre Tijaniyah et Wahhabite d'une part, et Mohammadi et Salafi d'autre part, sont des "introductions à la tentation et des mauvais présages". Il appelle les parties en conflit à "cesser ces conflits haineux et à revenir à la raison car le pays est dans un embarras qui ne s'accommode pas de ces comportements irritables". Cheikh Mahamat Khatir Issa déplore des "points de vue sectaires qui mènent finalement à la haine et au démantèlement des rangs des musulmans".
Le CSAI doit "faire un effort"
Le ministère de l'Administration du territoire renvoie la balle au CSAI qui lui a demandé "d'ajuster la situation (...) pour protéger la société de la fragmentation communautaire". Pour le gouvernement, "le CSAI est "le seul organe officiel qui représente tous les musulmans au Tchad auprès du gouvernement". À ce titre, il est "strictement interdit de prêcher des thèmes controversés, de construire des mosquées, des écoles coraniques, des écoles religieuses ou institutions sans son avis préalable", indique le ministre de l'Administration du territoire et de la Décentralisation.
Mahamat Bechir Cherif appelle le CSAI à "faire un effort constant pour contenir toutes les confréries religieuses sans exclusion au sein du Conseil en vue de préserver l'unité, la paix et la bonne collaboration dans l'intérêt du pays". Le CSAI doit "circonscrire toutes les dérives qui perturbent l'ordre public".