Le groupe Hilton a signé ce 22 décembre un accord avec la Société nationale d'exploitation hôtelière (SONEXHO) à Istanbul, en Turquie, marquant son retour au Tchad pour l'exploitation du Toumaï Palace situé dans le complexe du futur Centre international des affaires (CIA), au 2ème arrondissement de N’Djamena.
Le groupe Hilton qui exploitait le Hilton hôtel de N'Djamena a officiellement fermé son établissement en novembre 2019 suite à un litige impliquant un consortium de créanciers. Le groupe international hôtelier Hilton Worldwide avait officiellement inauguré son premier hôtel au Tchad le 21 janvier 2015.
En voie de finition, le Toumaï Palace deviendra l'hôtel le plus prestigieux de la capitale. L'hôtel compte 11 étages, 248 chambres, sept suites ministérielles, trois suites présidentielles et une suite royale.
Financé à 100% par l'Etat, le coût du projet de construction est de 94 milliards de Francs CFA. Les travaux, démarrés en 2013 pour une durée de 22 mois, ont connu un grand retard à cause de la crise économique. L'entreprise chinoise CGCOC, en charge de la construction, a repris les travaux en juin 2019, après trois ans de suspension.
En août 2019, l'ancien ministre d'État, ministre secrétaire général de la Présidence de la République, Kalzeubé Payimi Deubet, avait annoncé que l'État prévoit un budget de 900 millions de Francs CFA destiné à la préouverture.
Le groupe Hilton qui exploitait le Hilton hôtel de N'Djamena a officiellement fermé son établissement en novembre 2019 suite à un litige impliquant un consortium de créanciers. Le groupe international hôtelier Hilton Worldwide avait officiellement inauguré son premier hôtel au Tchad le 21 janvier 2015.
En voie de finition, le Toumaï Palace deviendra l'hôtel le plus prestigieux de la capitale. L'hôtel compte 11 étages, 248 chambres, sept suites ministérielles, trois suites présidentielles et une suite royale.
Financé à 100% par l'Etat, le coût du projet de construction est de 94 milliards de Francs CFA. Les travaux, démarrés en 2013 pour une durée de 22 mois, ont connu un grand retard à cause de la crise économique. L'entreprise chinoise CGCOC, en charge de la construction, a repris les travaux en juin 2019, après trois ans de suspension.
En août 2019, l'ancien ministre d'État, ministre secrétaire général de la Présidence de la République, Kalzeubé Payimi Deubet, avait annoncé que l'État prévoit un budget de 900 millions de Francs CFA destiné à la préouverture.